1 mmencer là. Voilà le secret de tout secours… Pour aider réellement un homme, il faut que j’en sache davantage que lui, mais i

2 té ou par orgueil, de sorte qu’au fond, au lieu d’ aider l’homme, je cherche à me faire admirer de lui. » Cette remarque de Ki

3 eux qui m’entourent, ce « peuple » qu’il s’agit d’ aider , et que je vois encore si mal. (Ce qui ne m’a pas empêché jusqu’ici d

4 de ma table de travail.) 28 novembre 1934 «  Aidez -moi ! », dit à Jean Giono l’héroïne d’une de ses nouvelles : elle se

5 cet homme tout de même ne disait pas lui aussi «  Aidez -moi ! », à sa façon vulgaire, avec son rire insupportable, et fallait

6 ue l’on fait comme l’expression de cette Volonté. Aider le peuple sans demander son avis. Avec l’espoir qu’un jour ou l’autre

7 explique que c’est pour monter “là-haut”, pour s’ aider  ! » 8 mai 1935 Il y a eu du bruit toute la nuit. Vers deux heur

8 morte (toter Buchstabe), et qui ne peut plus nous aider  ». En effet. Tout cela précise opportunément le sens des déclarations

9 on langage. Les récents événements y ont beaucoup aidé . Aujourd’hui je crois pouvoir dire que le système est assez simple, e

10 st né en 1847. Nous nous comprenons par sourires, aidés des quelques mots de schwyzer dütsch dont le séjour de Berne m’a enri