1 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
1 hnique. Nous autres écrivains de la Réforme, nous aimerions nous comparer au Jean-Baptiste du fameux retable de Grünewald à Colma
2 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
2 Tristan et Iseut, couple de parfaits amants, ne s’ aimèrent pas. À la manière dont Denis de Rougemont répond : « C’est exact, en
3 as de se faire le champion d’un paradoxe. Tristan aime sa passion, explique-t-il. Il n’aime pas Iseut de charité, dans son ê
4 oxe. Tristan aime sa passion, explique-t-il. Il n’ aime pas Iseut de charité, dans son être véritable. À la différence d’Agap
5 onserver leurs illusions, deux êtres ne peuvent s’ aimer que dans l’atmosphère où ils se sont rencontrés. N’est-ce pas d’aille
6 des peuples guerriers sont aussi les peuples qui aiment l’amour. Les peuples les plus guerriers sont l’Espagne et la France ;
3 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
7 mme dépourvu de tact, que disait-il : — La France aime tant la Paix qu’elle n’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peup
4 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
8 », c’est nous aussi, et que Dieu malgré tout nous aime . Si nous avions su croire en lui pendant le temps de sa patience, nou
9 oujours retrempé. Avouer les fautes de ceux qu’on aime et dont on attend la victoire comme la permission de revivre, c’est u
10 rce que nous en sommes les complices, et que nous aimons les fautifs. Il est dur de les avouer, parce que les fautes contraire
5 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
11 pas eu peur du germanisme, l’ont étudié et l’ont aimé . Ce sont nos meilleurs écrivains. 7. Tolérance. — Le fédéralisme véri