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e ! Et quelle est la femme égarée qui ne voudrait
aimer
le Prince de ces Lieux ? — Mais on m’appelle, écoute, la voix venait
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mit à luire davantage ; et davantage encore il l’
aimait
, plus il luttait contre la vie, plus il vivait. Un soir, émerveillé d
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une ou plusieurs définitions. Ah ! puissions-nous
aimer
l’amour assez pour ne jamais avoir recours à ces remèdes, car définir
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perdu la volupté. L’homme du désir : il ne peut
aimer
qu’indéfiniment. Il n’aime que cela : regarder longtemps en silence,
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du désir : il ne peut aimer qu’indéfiniment. Il n’
aime
que cela : regarder longtemps en silence, se perdre dans des yeux. (C
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sse d’un temps nouveau nous environne. Ceux qui n’
aiment
point la femme qu’ils viennent de posséder, leur silence meurt à cett
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commerce de ses semblables, qu’à son tour il les
aime
, les possède ! Ainsi par une suite de vertiges, multipliant la splend
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er. Tandis que la princesse Marie, qui a vraiment
aimé
son prochain, n’en n’a pas reçu de gloire et n’en demandait point. Au
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us Les Martyrs ni Corinne, et tout le monde croit
aimer
La Chartreuse et Adolphe. Mais ce jugement sur le talent, changé du t
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Je me sentirais dépossédé. C’est que je veux être
aimé
pour moi-même, tel que je suis et non point tel que me désire leur go
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une complaisance. Mais c’est dire aussi : je vous
aime
, puisque je vous veux moins vulgaires que vous n’êtes. Celui qui ne v
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veux pas la gloire pour vous éblouir, vous que j’
aime
et qui me connaissez. Vous savez ce que je suis, et si vous appreniez
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servant, s’il se peut, dans nos cœurs, ce droit d’
aimer
, cette bonté humaine plus inutile que jamais, dominatrice et bafouée.
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x rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’
aime
. J’aime ! » J’ai tout dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence
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-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’
aime
! » J’ai tout dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence attendai
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onnaît le corps à corps, la bataille d’hommes. Qu’
aimons
-nous donc tous dans la guerre, que nous soyons civils ou combattants
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vos deux dialogues sur la carte postale6, je les
aime
bien… Enfin il n’est pas exact que je les aime bien. Ils m’irritent e
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es aime bien… Enfin il n’est pas exact que je les
aime
bien. Ils m’irritent et m’agacent. Mais je ne les oublie pas.7 L’au
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atin vient et la nuit aussi. » Je n’ai pas fini d’
aimer
ce cri. Les citations de la Bible vous irritent. Et vous me direz : q
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souple de la diversité des êtres et des coutumes.
Aimez
votre terre et quittez-la. Quittez-la trois fois et revenez-y trois e
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e fois, selon l’arithmétique du cœur. Le nomade n’
aime
pas sa terre, n’y revient donc jamais vraiment. Le paysan n’aime que
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re, n’y revient donc jamais vraiment. Le paysan n’
aime
que sa terre, ne l’aime donc pas de la meilleure manière, s’il refuse
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ais vraiment. Le paysan n’aime que sa terre, ne l’
aime
donc pas de la meilleure manière, s’il refuse tout le reste, et la co
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ste, et la comparaison. Il faut s’ouvrir. Il faut
aimer
. Il faut cesser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de village
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griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et
aimez
. Puis choisissez. Revenez si le cœur vous en dit. Mais je sais bien q
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t belle âme comprises. Et ce n’est point que nous
aimions
la mort comme telle. Bien au contraire, ce qu’affectionne la chair, c
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s. Or l’amour rend parfois plus lucide que l’être
aimé
ne le souhaite. z. « L’Américain croit à la vie, le Français aux r
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x rendez-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’
aime
. J’aime ! » J’ai tout dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence
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-vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’
aime
! » J’ai tout dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence attendai
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t-il derrière leurs grands portiques. Et comme on
aime
une terre qui s’approche, avec l’immense sécurité du continent qu’on
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e frappés et c’est toujours : « Ô toi que j’eusse
aimée
! » Mais non, si c’était vrai, j’aurais su t’arrêter. Le monde entier