1
Voltaire nous conte là-dessus une anecdote dont j’
aime
assez l’impertinence. Il imagine un certain oncle à lui, qu’il appell
2
La solution fédéraliste Par quelle voie ? Je n’
aime
pas beaucoup la tolérance, vertu qui naît en somme d’un scepticisme,
3
on tolère, ne passera jamais dans les actes. Je n’
aime
pas non plus l’intolérance qui veut tout uniformiser, et qui est donc
4
», c’est nous aussi, et que Dieu malgré tout nous
aime
. Si nous avions su croire en lui pendant le temps de sa patience, nou
5
oujours retrempé. Avouer les fautes de ceux qu’on
aime
et dont on attend la victoire comme la permission de revivre, c’est u
6
rce que nous en sommes les complices, et que nous
aimons
les fautifs. Il est dur de les avouer, parce que les fautes contraire
7
C’est aussi notre affaire à nous laïques. Nous n’
aimons
pas à être dérangés dans nos petites habitudes du dimanche matin, et
8
nantes et n’oblige à des prises de position. On n’
aime
pas cela… Ce qu’on veut, c’est la paix chez soi et tant pis pour les
9
e j’examinerai sans pitié dans mon livre — mais j’
aimerais
indiquer aussi l’esprit des réponses que l’on pourrait tenter d’y fai