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sait voir parce que, mieux que d’autres, il sait
aimer
. Et sur ce monde, qu’il est, sur ces vies douloureuses, banales ou to
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s à slogans fait d’ailleurs fureur. L’Américain n’
aime
guère discuter, mais il aime faire connaître son opinion. Il délègue
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ureur. L’Américain n’aime guère discuter, mais il
aime
faire connaître son opinion. Il délègue donc ce soin à un bouton tric
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ient bien en peine d’en comprendre le sens. Ils n’
aiment
pas que l’étranger commande chez eux. C’est tout. Mais s’il faut évit
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d’Imprudents et d’Utopistes, qui voyaient et qui
aimaient
toutes les couleurs du prisme, leur a donné presque sans qu’ils s’en
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es du lac ; les paysans ne sont pas pêcheurs et n’
aiment
pas l’eau. La frontière est partout, sans nulle raison visible, décou
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C’est ce que l’on pense toujours d’un lieu qu’on
aime
. r. « Au pays du Patriarche », Journal de Genève, Genève, n° 281, 2
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e mystérieuse pour peu qu’on y réfléchisse : « Tu
aimeras
ton prochain comme toi-même. » ab. : « Non, notre civilisation n’e
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accepté ? L’étrangeté essentielle de la personne
aimée
demeure à jamais fascinante, « passionnante ». La jeunesse dans son e
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Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils
aiment
les tyrans (31 mai-1er juin 1980)af Dans ma jeunesse, j’ai longtem
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mnase puis de l’Université de Neuchâtel. Ce que j’
aimais
tout particulièrement dans ce rôle, c’était le moment de crise où je
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pal était justement le football. J’avais beaucoup
aimé
ce recueil d’essais : autant pour la manière dont Montherlant parlait
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f. « Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils
aiment
les tyrans », Journal de Genève, Genève, n° 125, 31 mai-1er juin 1980