1 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
1 te force qui toujours m’arrachait à tout ce que j’ aimais  ? C’est le mystère de ma vie, Dorothée. Et voici mon passé devant moi
2 ant, te voici dans la paix, cher époux. Nous nous aimons et nos enfants grandissent dans le bonheur que Dieu nous donne. Qu’au
3 ouvée. Nicolas. —  Dorothée, je sais que tu m’ aimes . Alors, je te demande aujourd’hui la plus grande preuve d’amour que f
4 litaire. Mais Dieu pourvoit au soin de ceux qui l’ aiment . Ô femme ! entends la voix des temps futurs ! Un peuple entier sera s
5 ’acceptes ! Dorothée. —  Je ne suis rien. Je t’ aime . Oh ! que je ne sois plus un obstacle sur ton chemin… Prends ceci pou
2 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
6 eil toujours ! Surgissez et levez Qui le Seigneur aimez  ! Le jour est commencé, la nuit évanouie Que Dieu en soit loué et par
7 Berne ? Diesbach. —  Il tient en un mot que tu aimes , ô frère Claus : c’est la paix. Je t’apporte l’heureuse nouvelle d’un
8 veux que la paix. Mais ce n’est pas le mot que j’ aime , c’est la chose, c’est la réalité miraculeuse que Dieu seul fait régn
9 Pardieu non ! Son oracle me plaît, à celui-ci ! J’ aime l’or, et il me dit que j’en aurai ! — Le vieux corbeau là-haut croass