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ddhique relève celui qui a dit : « Il faut que tu
aimes
Dieu comme non-Dieu, non-Esprit, non-Personne, non-image… un Un pur e
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Grâce, donnée par un Dieu personnel « qui nous a
aimés
le premier ». Et la Grâce est tout à la fois aide prévenante, pardon
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ux purs ». Semblablement, saint Augustin dira : «
Aime
Dieu et fais ce que tu voudras. » Or ces phrases invalident, du point
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main. Seul un homme en tant qu’être autonome peut
aimer
, peut agir en vertu de la foi : or, c’est précisément dans l’amour du
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e commandement unique est celui de l’amour : « Tu
aimeras
le Seigneur ton Dieu et ton prochain comme toi-même », cette foi libè
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tend de nous « dans une attente ardente », d’être
aimée
et connue, et finalement rachetée par la révélation des enfants de lu
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t le besoin subsiste de se donner sans réserve, d’
aimer
dans la totalité de l’être, jusqu’au sacrifice éperdu. Alors je ferai
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a personne et de la liberté. Ce n’est pas qu’on n’
aime
plus être soi librement, ni vraiment qu’on renie la personne : mais o
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r, aussitôt lié à l’esclavage. Et pour ceux qui n’
aiment
pas l’Amérique, de nos jours, USA signifie dollar et travail parcella
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à être ce qu’on est, à faire ce que l’on veut, à
aimer
ce que l’on aime, donc plus de liberté. Liberté pour tous, il va de s
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st, à faire ce que l’on veut, à aimer ce que l’on
aime
, donc plus de liberté. Liberté pour tous, il va de soi, mais cela n’a
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éralement, de sympathie humaine. Il faut beaucoup
aimer
les gens que l’on voit vivre pour voir en eux les traces de leur vrai
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ieu-homme, l’Incarnation, le concept de personne.
Aimer
Dieu et le prochain — comme soi-même. Être au monde — comme n’en étan
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en Orient, soit dans les cercles occidentaux qui
aiment
à parler de notre décadence) : « Vous avez négligé l’Esprit et l’Âme,