1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
1 ’un intérêt inépuisable ! ou simplement : comme j’ aime  ! Car on appelle beau tout ce que l’on aime avec intensité. Ainsi der
2 mme j’aime ! Car on appelle beau tout ce que l’on aime avec intensité. Ainsi derrière le mot beauté, on retrouve en définiti
3 ns, l’imagination, les idées ; enfin, induisent à aimer davantage. Une seule remarque sur ce point : il est évident qu’une œu
4 bole du geste paternel, il y a une tentative pour aimer la création comme le Père l’a aimée. Pourquoi Dieu a-t-il séparé de l
5 entative pour aimer la création comme le Père l’a aimée . Pourquoi Dieu a-t-il séparé de lui-même le monde ? Pourquoi et comme
6 paré de lui-même le monde ? Pourquoi et comment l’ aime-t -il ? En quoi cet objet de Son amour est-il distinct de Lui, et de que
7 ïncider avec l’ordre de la Création, pour mieux l’ aimer , et pour nous restaurer nous-mêmes en lui. L’art apparaît alors comme
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
8 es : ce qui prime tout, c’est la romance. S’ils s’ aiment , pense-t-il (de cette espèce d’amour), qu’ils se marient ! Car la rom
9 ie que nous épousons la femme ou l’homme que nous aimons , pour cela seul, advienne que pourra. La seule chose importante est d
10 Si bien qu’on est en droit de dire que Tristan n’ aime pas l’Iseut réelle, ni Iseut le Tristan réel, mais que l’un et l’autr
11 Iseut le Tristan réel, mais que l’un et l’autre n’ aiment en réalité que l’amour qu’ils ressentent. Le sentiment brûlant dans l
12 ntoxication que comporte cette passion. Le goût d’ aimer , ou mieux, de se sentir aimer, d’être in love, s’il s’est choisi des
13 passion. Le goût d’aimer, ou mieux, de se sentir aimer , d’être in love, s’il s’est choisi des obstacles convenables, peut al
14 l’image d’une femme dont il n’est pas sûr qu’il l’ aimerait s’il devait partager son existence ; elle apparaît dans notre histoir
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
15 nts d’un village avaient prise vivante, et qu’ils aimaient beaucoup. Elle avait faim. Ils lui apportèrent tout ce qu’ils pouvaie
16 re plus. Les gens voulaient la garder en vie, ils aimaient leur baleine, mais ils ne savaient plus comment la satisfaire. À la f