1 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
1 res, et plus rien ne passe. Murailles naturelles, Alpes , fleuves, Jura ; larges haies barbelées, ceinture fortifiée, pièces c
2 nous mettre à l’abri de notre histoire, ou de nos Alpes , ou simplement de nos habitudes ancestrales. À la question nouvelle q
3 Mais le fait est qu’on a coutume de parler de nos Alpes soit d’un point de vue purement sentimental, soit d’un point de vue p
4 trop bas. Qu’on y prenne garde cependant : si nos Alpes sont belles et nos glaciers « sublimes », il n’y a pas là de quoi nou
5 late, et il contemple, du sommet, le panorama des Alpes  : C’était un ensemble prodigieux de choses harmonieuses et magnifiqu
6 et regardait au hasard devant lui. O abîme ! les Alpes étaient le spectacle, le spectateur était un crétin ! Je me suis perd
7 ces choses qui peuvent être vues et touchées, nos Alpes , la petitesse de notre territoire, et nos difficultés économiques, il
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
8 ul point où un seul col permette de traverser les Alpes suffit à expliquer ce grand fait historique : l’immédiateté impériale
9 ntagnards existaient aussi bien dans le reste des Alpes  : ce qui leur a permis de se réaliser en ce point très précis de l’es
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
10 nous décrire une Suisse héroïque protégée par les Alpes , ce rempart, le Jura, cette barrière, et le Rhin, ce fossé… Oui, mais