1 le du Léman au Bodan ; et au sud, la barrière des Alpes , « océan monstrueux figé au milieu de la tempête par le souffle de Jé

2 rdinaux de ce colossal paysage : Annibal dans les Alpes allobroges, Charlemagne dans les Alpes lombardes, César dans l’Engadi

3 l dans les Alpes allobroges, Charlemagne dans les Alpes lombardes, César dans l’Engadine, Napoléon dans le Saint-Bernard. Au-

4 s entre le Jura, le Rhin et le Bodan au nord, les Alpes et le Léman au sud, passionnés de la guerre, persuadés de leur force,

5 mpire de Charlemagne, la région du Plateau et des Alpes ne connaîtra plus d’unité distincte pendant des siècles. Après le par

6 sisté jusqu’à nous dans les vallées centrales des Alpes . Tout cela, fondu dans le grand corps du Saint-Empire romain de natio

7 la plus grande partie du pays, entre le Rhin, les Alpes et le Léman, jusqu’au début du xiiie siècle. Ils fondent des villes,

8 communes forestières qui commandent les cols des Alpes , il serait enfin le maître et l’unificateur de l’ancien territoire de

9 une région très réduite, au sommet de cet arc des Alpes qui sépare la partie septentrionale et la partie méridionale de l’Emp

10 u Saint-Gothard, sur le versant septentrional des Alpes . Uri, c’est une longue vallée où descend la route du col, longeant ou

11 conquête du Tessin et d’autres vallées au sud des Alpes , tandis que Berne et Lucerne s’emparent de l’Argovie, fief originel d

12 près avoir assujetti les vallées méridionales des Alpes . En 1513, ils remportent sur les Français soutenus par les lansquenet

13 coutumes. Lorsque vous remontez en direction des Alpes la route qui longe le lac de Côme et que vous atteignez l’entrée de l

14 rses. Les uns ne furent d’abord qu’une vallée des Alpes dont les propriétaires et paysans libres, associés en coopérative, fi

15 rgs et châteaux, vignobles et campagnes entre les Alpes , le Jura et deux grands lacs, faisait partie du domaine des Savoie. C

16 âce à l’énergie électrique produite par l’eau des Alpes ) permirent de travailler l’aluminium extrait de la bauxite importée.

17 udain en richesse naturelle. Le château d’eau des Alpes centrales et valaisannes devint une source d’énergie. Il serait curie

18 C. G. Jung. Mais ce n’est pas en grimpant sur nos Alpes comme Horace-Bénédict de Saussure que ces hommes s’illustrèrent et ap

19 n ramenés en laisse, après Novare, par-dessus les Alpes , jusqu’à Berne. Quant à quitter la guerre il n’y faut plus songer, ce

20 t les marques de l’usage, et dominée par quelques Alpes qui sont des vagues à peine figées dans leur élan. Une Suisse réelle,

21 de minéralogie que nous bariolent les peintres d’ Alpe . Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des hommes, vue par les yeux de

22 la nature aussi. Impossible après lui de voir les Alpes comme les voyaient nos romantiques — Calame, Diday, Meuron —, majestu

23 ute la Suisse chante, depuis toujours. Jodels des Alpes , ces « acrobaties vocales », a-t-on dit. Chœurs villageois, moqués av

24 e siècle qui s’était retiré dans un ermitage des Alpes , où il avait jeûné pendant vingt ans ; et chaque Suisse connaissait s

25 mieux : elle donne à l’Europe préromantique « Les Alpes  » d’Albert de Haller et les « Idylles » de Salomon Gessner, puis à l’

26 million de mobilisables et le réduit national des Alpes , centré sur le Gothard. Des dispositions spéciales préviennent toute

27 ers sur un balcon d’hôtel, à Montreux, devant les Alpes translucides. Et ces wagons spacieux aux larges baies, glissant en si

28 éninsule et qui se seraient établis au centre des Alpes . (Suicia = Suecia.) Mais reprenons notre chronologie du développement