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nces que nous promet le groupe neuchâtelois des «
Amis
de la pensée protestante ». M. Guisan avait choisi un sujet qui perme
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rs, ce corps… J’ai un passé à moi, un milieu, des
amis
, ce tic. Mais encore, tant d’autres forces et tant d’autres faiblesse
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faudrait choisir. Vous me direz qui je suis, mes
amis
; quel est le vrai ? — Ils me proposent vingt visages que je puis à p
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éer, ou glisser au plaisir ? Êtes-vous belle, mon
amie
, — et vous, ma vie ? Certes, mais je vous aime moins que je ne vous d
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seur de Grenoble. i. « Troisième conférence des
Amis
de la pensée protestante : La révocation de l’édit de Nantes », Feuil
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lait dans la banlieue printanière ; des soupers d’
amis
dans notre modeste salle à manger ; des jaquettes de couleur pour ma
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t moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des
amis
qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit au
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nommaient « biondo et grassotto », et qu’avec mes
amis
nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers »10.
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s et un échange de pensées au même titre avec une
amie
d’une beauté de plus en plus frappante, il croit saisir dans un regar
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iné, l’on interdit l’entrée du palais à nos trois
amis
(qui pourtant n’eussent pas demandé mieux que de reconnaître, etc.) A