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n même temps le plus européen par la culture. Des
amis
me proposèrent de l’aller voir à Esztergom, où il passe les étés. J’e
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st un grand effort moral. Quand j’ai envoyé à des
amis
de France le récit de la journée où j’ai vu Hitler en communion avec
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e l’après-midi, je fus appelé au téléphone par un
ami
. Était-ce la guerre qu’on attendait d’une heure à l’autre ? C’était M
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ues, telles que bon ou méchant, droite ou gauche,
ami
de l’ordre ou esprit subversif. Ils exigent toujours des choses simpl
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. Secundo, j’ai envoyé à un certain nombre de mes
amis
la phrase suivante : « Au plus fort de la persécution entreprise par
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il s’attend à être abattu par l’un de ces anciens
amis
. Réfugié dans un hôtel chrétien, un Christliches Hospiz, il sent pese
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iterait pas à faire tuer pour elles ses meilleurs
amis
. (On entend : les Français qui l’ont accueilli comme émigré.) Mais lu
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’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peuple
ami
. (Il entendait : son peuple tchèque.) Historien futur ! — s’il en res
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de Hollande. Nous échangeons des nouvelles de nos
amis
communs d’Argentine, d’Angleterre, d’Autriche, de Roumanie : la plupa
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gue du Gothard » qui est mon idée et celle de mon
ami
Spoerri, de Zurich, et à laquelle je tiens. Elle suit d’ailleurs son