1 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
1 n même temps le plus européen par la culture. Des amis me proposèrent de l’aller voir à Esztergom, où il passe les étés. J’e
2 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
2 st un grand effort moral. Quand j’ai envoyé à des amis de France le récit de la journée où j’ai vu Hitler en communion avec
3 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
3 e l’après-midi, je fus appelé au téléphone par un ami . Était-ce la guerre qu’on attendait d’une heure à l’autre ? C’était M
4 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
4 ues, telles que bon ou méchant, droite ou gauche, ami de l’ordre ou esprit subversif. Ils exigent toujours des choses simpl
5 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
5 . Secundo, j’ai envoyé à un certain nombre de mes amis la phrase suivante : « Au plus fort de la persécution entreprise par
6 il s’attend à être abattu par l’un de ces anciens amis . Réfugié dans un hôtel chrétien, un Christliches Hospiz, il sent pese
6 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
7 iterait pas à faire tuer pour elles ses meilleurs amis . (On entend : les Français qui l’ont accueilli comme émigré.) Mais lu
8 ’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peuple ami . (Il entendait : son peuple tchèque.) Historien futur ! — s’il en res
9 de Hollande. Nous échangeons des nouvelles de nos amis communs d’Argentine, d’Angleterre, d’Autriche, de Roumanie : la plupa
7 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
10 gue du Gothard » qui est mon idée et celle de mon ami Spoerri, de Zurich, et à laquelle je tiens. Elle suit d’ailleurs son