1 dans chaque club de tir, on voit des « cercles d’ amis  » pour officiers et sous-officiers. L’officier suisse est, dans la pl

2 au hasard, il y en a tant. Je les ai vus avec des amis , tantôt américains, tantôt français. Les Français critiquaient beauco

3 me dans les contes de fées. Mais je regardais mes amis du coin de l’œil : en critiquant, ils essuyaient une larme, et rien d

4 en Etting, attaché aux forces américaines, et son ami André Lhote, furent les premiers à pénétrer dans le Palais du Luxembo

5 ation Non, je n’en veux pas un instant à votre ami le colonel. Dites-lui que je respecte la cavalerie : elle a fait ses

6 alité et d’hospitalité. Comment ils deviennent amis À la deuxième rencontre, ou tout de suite, l’Américain vous dit vo

7 nt d’église, selon leur domicile ou leur cercle d’ amis , tandis que le Français donne l’impression qu’il ne changerait pas pl

8 ue, c’est elle qui fait scandale. Se quitter bons amis après [illisible] est régulier. S’attacher, [illisible], voilà qui es

9 anisation qui m’invitait était un grand banquier, ami des lettres. Il vint m’attendre au débarqué de l’avion et me conduisi

10 heures pendant la matinée. Nous parlions avec mon ami d’art, de religion, de politique, des perspectives du nouveau régime,

11 rer le jour même à Berlin, et prends congé de mon ami qui se montrait fort inquiet de mon sort. Il y avait de quoi d’ailleu