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de la liberté, c’est sauver notre culture », Les
Amis
de la liberté, Paris, n° 2, décembre 1950-janvier 1951, p. 1-3.
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aventures avec brio et insistant pour lire à ses
amis
les versions successives de ses livres en train. L’un réservé jusqu’a
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i furent toujours à travers l’histoire nos grands
amis
politiques, nous risquons fort de perdre notre autonomie extérieure ?
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re ? Quels sont, à travers l’histoire, nos grands
amis
de toujours ? L’Angleterre et les États-Unis ? Vraiment, voilà qui su
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furent toujours à travers l’histoire, nos grands
amis
politiques » ? Certes non ! Ce serait, pour le coup, renoncer à notre
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enseigne « à jamais littéraire » de la Maison des
amis
des livres. (Commerce en éloignait toute idée commerciale…) Bien des
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ntrais d’Amérique, je voulais tout savoir sur nos
amis
, leurs œuvres et leurs vies : j’avais couru tout droit rue de l’Odéon
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odèles dans son Navire d’argent et sa Gazette des
amis
des livres : autant de petits chefs-d’œuvre d’intelligence du cœur. Q
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mé lui deviendra bientôt indifférente : J’ai une
amie
, mais je ne sais qui elle est, car jamais de par ma foi je ne la vis…