1
nucléaire en Europe, à mon sens et à celui de mes
amis
: l’élimination de toutes les armes atomiques de notre continent. Et
2
e malentendu était à son comble. Rougemont et ses
amis
voulaient — légitimement — qu’on les lave de tout soupçon quant à leu
3
près de Genève, quand j’ai reçu la visite de deux
amis
, dont Alexandre Marc, que j’avais bien connu dans le mouvement person
4
enti « obligé », en quelque sorte. J’ai dit à mes
amis
: « Je suis prêt à donner deux ans de ma vie à la cause européenne, e
5
sance, sans rappeler une soirée mémorable chez un
ami
, Erico Nicola — le premier homme qui nous parlait d’écologie, aux com
6
, chez lui, près de Morges, devant une douzaine d’
amis
réunis pour l’occasion, le directeur de l’Institut Battelle, Hugo Thi
7
ela a été en tout cas à la base de ce qu’avec mes
amis
Mounier, Alexandre Marc, Aron et Dandieu, nous avons lancé dans les a
8
marxisme, plus l’électricité », de déclarer à cet
ami
: « Pour moi, le fédéralisme, c’est la philosophie personnaliste plus
9
ébut de septembre 1947. J’ai retrouvé là de vieux
amis
de l’Ordre nouveau, comme Alexandre Marc et Robert Aron, et connu un
10
sé le mot, et j’ai gardé la chose. J’ai dit à mes
amis
fédéralistes que j’étais prêt à consacrer à leur campagne deux ans de
11
s plus les ordinateurs ». « Ah, celle-là, dit mon
ami
, vous me rendez jaloux de ne pas l’avoir trouvée ! » Je vous ferai g
12
sa vocation mondialisante ? Je souhaite que notre
ami
Jacques Freymond trouve dans cette proposition matière à examen, et s
13
ère. J’en serai à tout jamais reconnaissant à mon
ami
Alexandre Marc, le même qui allait me mettre en relations — dans un g
14
aient indispensables à l’hygiène mentale de notre
ami
. Cet humour bref était peut-être aussi une manière de couper court au
15
ceux que j’ai gardésag : le 12 octobre 1949 Cher
ami
Merci. Je suis ravi de ces pages. J’attends la circulaire. Bien amica
16
rculaire. Bien amicalement Jean P. (1939) Cher
ami
, votre article du Figaro est vraiment admirable11. Nous le citerons
17
avis sur la note jointe. 21.VIII.1949 Mon cher
ami
ah j’aurais tout à fait besoin du Saint-John Perse avant le 10 septem
18
secondes se passent. Je lâche son bras. Nos deux
amis
sont arrivés dans la lumière de l’entrée du bistrot. Artaud se calme.
19
la banquette à droite du tourniquet d’entrée. Mes
amis
m’ayant quitté, j’ai été m’asseoir à son côté. Je le salue. Il me pre
20
ne sais combien de soirées merveilleuses avec ses
amis
peintres et poètes surréalistes « réfugiés » aux États-Unis, Max Erns
21
cas d’Elisa pour avoir été tolérée par ses jeunes
amis
du groupe surréaliste reformé à New York. Cela lui pose un problème t
22
avec cette dédicace : « À Denis de Rougemont, mon
ami
très cher et très écouté. » Dimanche matin. Sur Madison Avenue déser
23
ui ne peut être que du printemps de 1940 : Cher
ami
N’écrivez pas à Cully. Je n’y suis plus et pour cause, et si de la co
24
donner quelques pages à cette jeune revue de mes
amis
de Grandson. Croyez à ma vive amitié Ch. A. Cingria Je le revois, qu
25
r il me semblait, tout d’un coup, que de tous mes
amis
, celui que nous allions couronner se trouvait être — à tout le moins
26
eu connu. Et Caillois ? Caillois, lui, c’était un
ami
, tout à fait. Vous avez dû échanger beaucoup d’idées. Je pense en par
27
s d’André Malraux, à moi transmis par l’un de ses
amis
espagnols : « C’est un de nos meilleurs écrivains, mais il se perd da
28
Ce fut celle du personnalisme. Un jour, chez des
amis
, un jeune Russe que je venais de connaître, Alexandre Marc, me remit
29
ilitante pour la fédération de nos peuples. À mes
amis
fédéralistes, dont beaucoup avaient milité avant la guerre dans nos g