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gne, l’Occitanie, la Provence, etc., Debré et ses
amis
s’imaginent, c’est normal, que l’Europe va faire de même de leur nati
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ens, leur exemple valant pour les autres. De bons
amis
m’ont conseillé le silence : ce livre ne vaut rien, laissez tomber. C
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é sur leur œuvre et sur leur combat. Afin que ces
amis
ne soient plus impunément « livrés au caprice d’un gamin, jetés en pr
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dialogue me semblait difficile. C’était exact. Un
ami
vient de me procurer la photocopie de l’article. Il s’agit de deux pa
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our nous un prestigieux camarade de combat, et un
ami
. Il fut plus tard le chef du célèbre groupe clandestin L’Orchestre ro
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’ultime, l’héroïque sursaut de Bataille et de ses
amis
» — il s’agit de Roger Caillois et de Michel Leiris — les purs et dur
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donc fascistes ? Je ne pense pas : c’étaient des
amis
. À l’invitation de Bataille, je venais de présenter au Collège de soc
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ns sur le Forum culturel 1984-1985, c’était notre
ami
Boldizsar qui avait choisi ce thème, je me suis dit : est-ce qu’on pr
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s-monde. Je crois que, là, vous avez touché, cher
ami
, quelque chose de tout à fait important. Le grand danger que nous avo
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r l’opinion que les fédéralistes — et d’abord mes
amis
de l’UEF — pouvaient se former alors du Conseil de l’Europe. Messieu
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nt quelques rosseries, les thèses majeures de mes
amis
fédéralistes en faveur d’une réforme immédiate du Conseil de l’Europe
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qu’assurés de réussir. Mais nous demandons à nos
amis
de nous croire : le succès n’est pas exclu. Comment ne pas admirer l
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’éminence grise du congrès de La Haye ». 86. Mon
ami
Richard Heyd, directeur d’Ides et Calendes, Neuchâtel, Suisse. 87.
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idegger, le philosophe allemand. Et puis avec mes
amis
, nous avons très vite fondé des groupes de pensée autour d’une idée d
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des Allemands, un Italien. Nous avions beaucoup d’
amis
, presque des disciples déjà, en Angleterre, en Belgique. Nous avons a
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dées sur le vif. J’ai fondé en même temps avec un
ami
de Zurich, Theophil Spoerri, professeur de lettres romanes, un mouvem
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s pourrions rentrer en Europe. J’avais beaucoup d’
amis
de tous les pays européens, réfugiés là-bas, avec qui nous nous disio
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tifiques. J’ai été passionné dès le début par des
amis
physiciens qui me parlaient de ces recherches. Je trouvais cela très
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ai des preuves quasi quotidiennes : j’ai de bons
amis
là-bas, ils m’écrivent souvent, me téléphonent, traduisent mes livres