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ns — de nous représenter un « Jésus-homme », un «
ami
suprême », présent parmi nous, ramené à nos proportions idéalisées. C
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nod, m’écriai-je, n’est-ce pas celui qu’un de mes
amis
, effrayé de son humanisme, a baptisé l’homme qui ne veut pas mourir ?
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sobligeant, dis-je, pour l’un de mes collègues et
amis
les plus chers. Je serais fort curieux de savoir sur quoi vous appuye
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effet, très exactement, mon point de vue, que mon
ami
Monod exprime ici. Le terrain du bon sens, eh oui ! c’est bien cela !
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s coups de coude significatifs.) Enfin, mes chers
amis
, si le christianisme n’est pas une expérience, et je dis bien une exp
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ince du paradoxe, comme l’appelle si joliment mon
ami
Monod. » Selon Nicodème, le terme d’existentiel n’était qu’une locuti
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: « En vérité, en vérité, je te le dis ! »… Ô mes
amis
, qui d’entre vous a fait une telle expérience ? N’est-ce pas assez «
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c’était justement l’accent de controverse de mes
amis
qui me jetait dans une sorte de honte… La confession de Nicodème m’av
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adition et Révélation) (janvier 1936)k Que nos
amis
catholiques nous permettent de relever tout d’abord un défaut très co