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secrétaire, l’autre contre Willkie, par un de ses
amis
de jeunesse. Les deux auteurs insistaient longuement sur la sympathie
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érique, c’est aussi trouver un milieu social, des
amis
, des appuis matériels s’il le faut. Dans ce pays énorme, qui manque d
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us rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu des
amis
intacts, et dont l’amitié seule avait fleuri comme un bon vin. Et j’a
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de toute autorité politique super-nationale. Cet
ami
de l’unité siège parmi vous. Il va trouver sur vos banquettes des adv
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ez ensuite vos jambes à qui vous voudrez ». À ses
amis
de Paris : « On fabrique ici beaucoup mieux qu’à Genève… Donnez vos o
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oldats ? » demande le prince de Hesse. « Non, mes
amis
! », dit le grand homme. Et tous de pleurer à l’envi. Paul Claudel, i
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de pleurer à l’envi. Paul Claudel, informé par un
ami
commun de ce que j’habite à Ferney : « Est-ce que Voltaire ne vient p
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s jugeront hérétique, voilà de quoi faire à notre
ami
beaucoup d’ennemis dans tous les camps ! La question se pose, à la mo
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ain et de livres « à lire en vacances », livres d’
amis
, reçus depuis des mois, et livres qui m’aident à travailler, comme la
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que je n’arrive à lire qu’un seul des « livres d’
amis
» : le Poisson-scorpion de Nicolas Bouvier, avec le plaisir constant,
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sonnets des Chimères : c’est réparé. ag. « Mes
amis
et Nerval », Journal de Genève (Samedi littéraire), n° 235, 9 octobre