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liberté avec les intérêts américains. Nous sommes
amis
des Américains, mais plus encore amis de la vérité. …On a prétendu qu
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Nous sommes amis des Américains, mais plus encore
amis
de la vérité. …On a prétendu que nous étions réunis à Bombay pour con
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bien pour que sa mort m’éprouve comme celle d’un
ami
. Ce fut à l’occasion de la table ronde convoquée l’an dernier à Rome
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rs de son territoire, au surplus gouvernée par un
ami
de la France, n’est « pas moins redoutable » que l’Allemagne arrogant
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: vous parlez au nom de la morale, mais K. et ses
amis
ont bien d’autres problèmes. Au lendemain de la mort de Staline, que
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iaux » et leurs complices, et les familles et les
amis
de ces complices, ruinent à jamais, par un exemple décisif, la seule
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e, que M. Fejtö, et beaucoup moins subtil que ses
amis
d’Esprit, donc carrément « vulgaire », j’essaie de mesurer mon « épre
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nouvelle classe des bureaucrates ? Mais K. et ses
amis
sont aujourd’hui ses chefs. Au surplus, chacun sait que les classes o
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monsieur, je suis sous-développé. B. Intéressant
ami
, que vous faut-il ? A. Si vous ne m’aidez pas, sachez-le, je me jette
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ez ensuite vos jambes à qui vous voudrez. » À ses
amis
de Paris : « On fabrique ici beaucoup mieux qu’à Genève… Donnez vos o
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oldats ? » demande le prince de Hesse. « Non, mes
amis
! », dit le grand homme. Et tous de pleurer à l’envi. Paul Claudel, i
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de pleurer à l’envi. Paul Claudel, informé par un
ami
commun de ce que j’habitais à Ferney : « Est-ce que Voltaire ne vient
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e dit-on, on ne répond pas à cela. Je pense à cet
ami
qui soupirait : « Ah je n’ai plus le temps d’écrire, même aux amis, j
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t : « Ah je n’ai plus le temps d’écrire, même aux
amis
, je ne réponds plus qu’aux lettres anonymes ! » ad. « Sur le pouvo
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ain du monde, qu’on ne peut plus changer. Je suis
ami
de la France. Je me sens déprimé. R. — Vous ne l’avez pas volé, et ce
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pas cynique, et n’est-ce pas déprimant, pour les
amis
de la France ? R. — Je vous les laisse, mais je vous conseille de lai
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és de compréhension dont me gratifièrent quelques
amis
entraperçus. Qu’on en juge par ces notes en vrac. Paul-Henri Spaak, p
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veulent pas former. Eppur, se muove ! — Des
amis
me retiennent par la manche : — Avouez, disent-ils, que l’anticommuni
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rrait en pleurer. Au-dessous, la Terre, proche et
amie
; mais tout près de nos têtes, les grands espaces noirs ouvrent les d
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au même titre que ceux qu’on a cités d’entre les
amis
de Kassner, la seule littérature digne du nom ; et l’on ne s’étonnera
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rompus Au lendemain de la dernière guerre, des
amis
lui avaient ménagé une assez plaisante retraite dans le bourg de Sier
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tants nous en demeurent : lettres de Rilke à leur
amie
commune, la princesse de la Tour et Taxis, dédicace à Kassner de la H
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e poser, mais qui paraît troubler certains de nos
amis
, et qu’une masse d’étourdis tranchent de la sorte : maintenant que no
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le séducteur, prouve simplement que « notre jeune
ami
reste au-dehors », c’est-à-dire n’entretient encore que des rapports
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outer de sa rénovation. Post-scriptum pour mes
amis
anglais. Si, nonobstant l’analyse qu’on vient de lire, j’ai ressenti
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eu sait pourquoi, j’ai retrouvé ce soir une ombre
amie
à l’orée de mon bois celtique, André Breton, enterré ce matin. La g
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oup d’être un mythe pour devenir du même coup mon
ami
, après un dîner tête-à-tête dans un petit restaurant du Village, à Ne
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« l’Obscurantisme ». Je crois avoir été, de ses
amis
, le seul qui s’avouât et se voulût « chrétien ». Cette inconcevable a
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u celles de la lenteur et du silence ? Mais notre
ami
le Dr M. V., qui passe l’été près d’ici avec deux jeunes amies nous é
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. V., qui passe l’été près d’ici avec deux jeunes
amies
nous écrase d’un souriant dédain. « Vous aurez bientôt, nous dit-il,
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ntact avec un groupe où vous ne trouverez que des
amis
et des disciples. » notes de journal, 6 août 1947 : « Comment refuse
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in je quittais Montreux pour retrouver à Sion des
amis
venus de Paris. Je n’étais pas encore engagé dans l’affaire. Tout se
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ill. À ma gauche, à ma droite, quelques profils d’
amis
, ce jeune ancien ministre socialiste hollandais, ce jeune ancien mini
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que — et, par là, digne d’être vécue.” (C’est mon
ami
Brugmans, travailliste hollandais, qui parle ainsi devant douze ancie