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sur la voie qu’elle m’ouvrait, avec tant de rires
amis
, vers tout ce que momentanément je choisissais de laisser — et des ba
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sser, après tant d’autres, avant tant d’autres. «
Amis
, ce sont les jeunes qui passent… » Pas question de les saluer ni d’em
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vant-hier, à ce bal. J’avais demandé à un de mes
amis
, qui vous connaît4, de me présenter. Il m’en avait donné la promesse.
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e s’arrêta, je me trouvais tout près de vous. Mon
ami
me fit un signe discret, et déjà il se préparait à vous rendre attent
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es. Déjà la foule des danseurs nous séparait, mon
ami
se détournait, un peu vexé ; vous disparaissiez au milieu d’un cortèg
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nes douleurs. Même, je fus obligé de confier à un
ami
que j’en avais repris … Les archets jouaient sur mes nerfs. Le jazz m
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ous trouver peut-être assise en face de votre bel
ami
laqué, souriante… Enfin, un peu après 6 heures, je suis sorti. Il y a
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traîné par un dromadaire, d’ailleurs dételé. Les
amis
affligés mangent les couronnes et suivent à grands sauts lents, solen
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is avec ceux qui traitent Aragon, Breton et leurs
amis
alternativement de dévoyés, de farceurs, de chacals, de déments. Et p
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ié. Pourtant je suis seul dès cette heure, et mes
amis
fuiront un lâche. Parce que je reviens seul. Mais moi, qui regarde co
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nant. » Je songeais justement à un sourire de mon
amie
quand il voulut m’adresser la parole après un silence vertigineux. Il
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uise de métaphore, avec une pensée tendre pour un
ami
poète. « L’autre jour au Grand Écart… », dit quelqu’un. À ce coup, l’
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t rien de plus. » Chercher des hommes ! Ah ! cher
ami
, nous ne sommes pas tant, n’est-ce pas, à poursuivre une quête de l’e
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i cela peut servir, une citation.) Mais non, cher
ami
, voici qu’une envie me prend de vous conter un peu cette histoire. Se
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le perdre. — « Eh ! quoi, — vinrent lui dire ses
amis
, — l’orgueil t’aveugle-t-il ? Veux-tu conserver, ô cruel, des ailes q
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une réponse : « Vous avez commis une erreur, cher
ami
, mais bien excusable de la part d’un poète en état, sans doute, d’ins
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veront réunis. Avec ma bénédiction, je suis votre
amie
Joséphine. » — Le poète reprit son manuscrit et conclut : « L’inspira
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phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes
amies
, je m’intéresse aux cravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrad
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u’à ce qu’il n’en puisse plus… Je répondais à mon
ami
: — À chacun selon sa faim. Heureux ceux qui ont une grande faim, c’e