1 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
1 t moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit au
2 nommaient « biondo e grassotto », et qu’avec mes amis nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers6 ». H
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
3 fous, mais il y a la manière. J’ai l’ennui de mon ami Gérard de Nerval, je bois une menthe à son souvenir. Si je buvais ass
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 se dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
5 ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis . Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
6 ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le voir à Esztergom, où il passe ses étés. Esztergom est l
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 « Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon amie , vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne m’en souvie
8 ard les désirs qu’auparavant il dédiait à quelque amie de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’inven
9 tes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et du bo
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
10 phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes amies , je m’intéresse aux cravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrad