1
t moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des
amis
qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit au
2
nommaient « biondo e grassotto », et qu’avec mes
amis
nous devions baptiser en style viennois « Mehlspeis-Schlagobers6 ». H
3
fous, mais il y a la manière. J’ai l’ennui de mon
ami
Gérard de Nerval, je bois une menthe à son souvenir. Si je buvais ass
4
se dans cette foule et ces musiques, deux visages
amis
me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
5
ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes
amis
. Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
6
ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des
amis
m’emmènent le voir à Esztergom, où il passe ses étés. Esztergom est l
7
« Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon
amie
, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne m’en souvie
8
ard les désirs qu’auparavant il dédiait à quelque
amie
de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’inven
9
tes que celle-ci : se promener dans les campagnes
amies
en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et du bo
10
phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes
amies
, je m’intéresse aux cravates, enfin, je sens mon esprit qui se dégrad