1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 e Renaud (Renaud-de-la-Cure), qui est une vieille amie des propriétaires de notre maison, est venue plusieurs fois nous voir
2 : Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis  ! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui m’ont fait c
3 qu’ils trouvent en dépôt chez la mère Renaud : l’ Ami du Peuple ou la France de Bordeaux, la feuille locale des curés ou ce
4 J’en suis bien curieux. 13 décembre 1933 Un ami auquel j’avais prêté quelques centaines de francs il y a un an, m’en
5 uverte et sérieuse. « Eh bien, Messieurs et chers amis , nous allons procéder, selon votre coutume, à l’élection du bureau, p
6 ez les Juifs est presque communiste ! Jésus est l’ ami des pauvres, des péagers. Malheureusement il y a le cléricalisme. C’e
7 ue argent à venir, j’ai accepté l’invitation d’un ami qui nous offre de passer trois semaines chez lui. Il habite à une pet
8 vagabondage. Janvier 1934. (En séjour chez un ami près de Taillefer.) J’ai interrompu mes notes depuis quinze jours.
9 Nos conversations de ces jours derniers avec nos amis , et les précisions que j’ai dû fournir à des personnes curieuses de m
10 sque toute la place. Abîme entre la politique des amis du peuple, et la réalité du peuple : rien ne le rend plus sensible qu
11 fle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie , d’une maison pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une
12 ation à passer quinze jours dans un camp avec des amis en juillet. Tout cela probablement parce que j’étais à bout de ressou
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
13 à cette humiliante évidence : sans argent et sans amis proches, la solitude, ici, devient un isolement. Il y a « les gens »