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peur que son feu ne le consume », écrit un de ses
amis
, vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de ré
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u Goethe ? En mai 1873, il écrivit de Roche à son
ami
E. Delahaye : « Prochainement, je t’enverrai des timbres pour m’achet
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s’en ira mourir à l’hôpital, en disant à son seul
ami
: « Salue tous les hommes ! Je les aimais bien tous… » Cela se passai
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omment il dut arracher à Kafka les écrits que son
ami
se refusait à publier — dont ce roman. Quels étaient les scrupules de
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i nous rapporte cette conclusion projetée par son
ami
, veut y voir un écho des vers du Second Faust : Wer immer strebend s
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l’invite d’une formule, d’une épigramme, sur tel
ami
dont il semble inutile de répéter chaque fois qu’on l’aime ? Ainsi l’
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pique qui est celle de Jean-Paul à la mort de ses
amis
, de Novalis perdant Sophie von Kuhn, de Guérin méditant sur la mort d