1 iterait pas à faire tuer pour elles ses meilleurs amis . (On entend : les Français qui l’ont accueilli comme émigré.) Mais lu

2 ’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peuple ami . (Il entendait : son peuple tchèque.) Historien futur ! — s’il en res

3 après-midi dorée. Échangeant des nouvelles de nos amis communs d’Argentine, d’Angleterre, d’Autriche, de Roumanie : la plupa

4 Jacob Burckhardt. En 1871, il écrit à l’un de ses amis  : « Le sort des ouvriers sera le plus étrange… L’État militaire va de

5 s-je reçu, dit-il, par le chef de l’État ou par l’ ami  ? — Par l’ami, répond aimablement le Duce. — Alors je m’assieds. » En

6 -il, par le chef de l’État ou par l’ami ? — Par l’ ami , répond aimablement le Duce. — Alors je m’assieds. » En sortant, ajou

7 . Secundo, j’ai envoyé à un certain nombre de mes amis la phrase suivante : « Au plus fort de la persécution entreprise par

8 935) et il s’attend à être abattu par ses anciens amis . Dans le refuge précaire d’un Christliches Hospiz, il sent peser sur

9 , comme le remarquait un spirituel Anglais de mes amis . Pour combien d’hommes le billet du Clipper ou d’un petit paquebot am

10 cages à poules. Aux gares, ils reconnaissent des amis , les prient de monter pour les accompagner jusqu’à la station prochai

11 à celui qu’on raconte dans leurs livres. Mais les amis qui étaient venus parlaient du Noël de la France et nous mangions nos

12 sont plutôt journalistes. Quant à leurs femmes et amies , elles m’ont paru cultiver le genre des nihilistes russes d’antan. La

13 La censure ne s’est pas relâchée, et d’excellents amis la disent justifiée par notre situation précaire au cœur de l’Axe. S’

14 ir en arrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je trouve un grand jeune homme assis sur l’

15 n choix, — je déjeune avec des étudiants et leurs amies , des professeurs aussi, et quelques réfugiés. L’après-midi, on m’emmè

16 re, traduit, truffé et adapté par les soins d’une amie américaine qui adore mon pays et qui connaît le sien7. 28 mai 1941

17 ce soir à Mme B. Je m’ennuie, je m’énerve, chère amie . Vous auriez bien une estancia, pas trop loin d’ici, pour huit jours 

18 y renoncer, un tiers des membres étant, croit-il, amis de l’Axe. Ils sont prêts à soutenir un coup d’État fasciste (au nom d

19 ont, mais en vain, voudrait atteindre un groupe d’ amis qui disent adieu. L’un après l’autre les œillets lancés tombent dans

20 e me réveille8. Je n’ai rien d’autre à dire à mes amis d’ici. Vous marcheriez le long de vos rues habituelles et vous marche

21 ois encore… —J’étais à la campagne avec un couple ami qui cherchait une maison à vendre, et dans une ferme où nous entrons

22 ui bée sur la nuit. Je connais la cérémonie. Mes amis s’étonnaient de mon calme. Que voulez-vous, je me sens tellement plus

23 e ne plus m’en échapper. Je devais aller chez des amis après le dîner. J’entre au hasard dans un petit restaurant, au bas de

24 ns ce quartier. Je suis monté sans dîner chez mes amis . Je n’en ai pas de plus charmants dans toute la ville, et je les ai v

25 uvre ma porte et j’entends le téléphone. C’est un ami qui va quitter l’Office of War Information, étant appelé d’urgence à

26 nce, disposant des énergies que libère une nature amie de l’homme, se trouve placée par cette nature même au rang de grande

27 de l’être. Comment lui résisterait-on ? C’est un ami . Il vous a reçus d’abord et vous a proposé ses façons et usages qu’il

28 ais non : je viens d’en voir une de mes yeux. Une amie , fort connue pour sa beauté, ayant disparu de New York depuis plusieu

29 ortune, feraient de mauvais pauvres et de mauvais amis . C’est passionnant, les énormes fortunes. Passionnant à regarder de p

30 aison depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où est Jim ? —Je ne sais pas. Il est parti. » Jim étai

31 je n’ai pas peur… » — Eh bien ? m’ont demandé mes amis dans la voiture qui nous emporte sous la pluie, qu’en pensez-vous ? —

32 ttany, il y en a d’autres. Je les ai vus avec des amis tantôt français, tantôt américains. Les Français critiquaient beaucou

33 me dans les contes de fées. Mais je regardais ces amis du coin de l’œil : en critiquant, ils essuyaient une larme. Quant aux

34 s événements locaux, le plus marquant, pour notre ami , paraît être la vente d’un grand hôtel à une nouvelle direction juive

35 re tout d’abord que quelques-uns de mes meilleurs amis sont des Juifs… Il fournissait ainsi la mesure de sa grande liberté

36 dicule ; quand on les tue. Mais le fait que notre ami l’ait cependant dite aussi spontanément prouve qu’un effort est encor

37 en affirmant que « quelques-uns de mes meilleurs amis sont antisémites… » Fin juillet 1945 Le mensonge allemand. — A

38 avons en commun, par ailleurs, quelques très bons amis allemands réfugiés à New York depuis la guerre ou depuis 1933. Nous n

39 ait aussi bien démontrer le contraire ? Quand des amis d’Europe débarquent à New York — et il en vient beaucoup depuis quelq

40 us rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu des amis intacts, et dont l’amitié seule avait mûri comme un bon vin. Et j’ai