1 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
1 s et un échange de pensées au même titre avec une amie d’une beauté de plus en plus frappante, il croit saisir dans un regar
2 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
2 anisation qui m’invitait était un grand banquier, ami des lettres. Il vint m’attendre au débarqué de l’avion et me conduisi
3 eures pendant la matinée. Nous parlions, avec mon ami , d’art, de religion, de politique, des perspectives du nouveau régime
4 rer le jour même à Berlin, et prends congé de mon ami qui se montrait fort inquiet de mon sort. Il y avait de quoi d’ailleu
3 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
5 our éternel. Comme je parlais de ces choses à une amie  : « J’ai connu, me dit-elle, un homme marié avec lequel ayant été coq
4 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
6 ance névrotique due à l’hypersensibilité de notre ami  », déclaration qui n’a pas peu contribué à la popularité du champion.