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ard, une lucidité sans recours. Vous prenez cette
amie
dans vos bras, vous ne trouvez à dire que des phrases banales : « Vie
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J’ai souvent proposé cette petite parabole à mes
amis
américains « Vous croyez, leur disais-je, que le plus grand est néces
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it grave : au congrès de La Haye, la place de nos
amis
fédéralistes de toute l’Europe de l’Est restera vide. Et cela n’a pas
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péens, s’il est vrai que le mot libéral veut dire
ami
de la liberté, non pas seulement du laisser-faire, et qu’à ce titre,
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du continent. Il est temps de donner aussi à nos
amis
américains la certitude que nous ne sommes pas ce qu’ils ont parfois
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ill. À ma gauche, à ma droite, quelques profils d’
amis
, ce jeune ancien ministre socialiste hollandais, ce jeune ancien mini
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ue — et, par là, digne d’être vécue. » (C’est mon
ami
Brugmans, travailliste hollandais, qui parle ainsi devant douze ancie
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n paraîtra dure ou même injuste à beaucoup de mes
amis
britanniques. Je n’y puis rien : elle résume l’opinion de la presse c
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ndade vers la prudence, surtout de la part de mes
amis
fédéralistes. Car il est clair qu’un appel de ce genre était précisém
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vie de l’Europe : mes adversaires y sont donc mes
amis
, car le principe pour lequel je me bats est celui de l’union dans la