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el bas de Phoibos ! Muette d’effroi, je m’arrête,
amis
. Mais bientôt, sous mes yeux, un milan fond du ciel, à grands coups d
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loin de leurs enfans, de leurs femmes et de leurs
amis
. Leurs exploits ne servent donc qu’à augmenter et à propager la puiss
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e sainte ; elle nuira moins à tous les parents et
amis
des condamnés. Il veut donc profiter de l’esprit guerrier de son épo
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e fut l’avis que me donna bientôt après un de mes
amis
, lorsque je lui montrai la première ébauche de cet Ouvrage dans ma Pr
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de leur mieux pour ne pas conserver longtemps un
ami
; qu’ils inventaient tous les jours des modes différentes ; et que, s
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Paolo Marana, Lettre d’un Sicilien à l’un de ses
amis
, contenant une agréable critique de Paris et des Français, 1700 et 17
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, avait écrit un an avant sa mort, caché chez des
amis
, son Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain.
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de tous les patriotes, tel est le vœu de tous les
amis
de la liberté répandus sur la surface de l’Europe, qui n’attendent pl
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n dont il n’a jamais mieux mérité d’être appelé l’
ami
. C’est en effet à Jean-Baptiste, dit Anacharsis Cloots, Prussien de
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Europe, dont il avait donné lecture à un groupe d’
amis
(parmi lesquels les frères Schlegel et le jeune Schelling), mais que
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i allait devenir la nostalgie commune de tous les
amis
de Novalis, penseurs, artistes et poètes, catholiques de naissance ou
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rmé » de Fichte et l’essai sur l’Europe de Gentz.
Ami
de Novalis dans sa jeunesse et devenu plus tard catholique comme lui,
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Lombardia, cap. Ve. 210. Il écrit en 1834 à son
ami
L. A. Melegari : « J’aime religieusement l’humanité, mais religieusem
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ne — n’était pas une menace à leurs yeux mais une
amie
, presque une complice. Un peu plus tard cependant, en 1790, c’est à l
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essus matériels et quantitatifs.) De même que son
ami
Engels, il salua les mouvements de libération nationale des Polonais,
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tes les ambiguïtés que nous retrouverons chez ses
amis
, ennemis et successeurs russes sont en germe dans ces Lettres : « Il
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ut de l’Europe sera russe. Pour Kireievsky et ses
amis
, la notion d’hégémonie organisatrice est capitale : Mais pour que l’
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n brevet de citoyen au poète allemand Schiller, l’
ami
de l’humanité, et bien qu’elle ait fait par là un beau geste, voire u
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le xixe siècle, où Schiller, citoyen français et
ami
de l’humanité, n’a jamais été connu que des professeurs de littératur
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chambrette et m’inondait de lumière. Eh bien, mon
ami
, eh bien ! ce soleil couchant du premier jour de l’humanité européenn
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on ennui russe, étais alors libre. Note bien, mon
ami
, une bizarrerie : chaque Français peut servir, avec sa France, l’huma
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a Russie. Davantage même !… et, reconnais-le, mon
ami
, c’est un fait remarquable que, voici déjà près d’un siècle, la Russi
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e date, Carl J. Burckhardt, écrit à son maître et
ami
, le poète autrichien Hugo von Hofmannsthal, quelques pages prophétiqu