1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 el bas de Phoibos ! Muette d’effroi, je m’arrête, amis . Mais bientôt, sous mes yeux, un milan fond du ciel, à grands coups d
2 loin de leurs enfans, de leurs femmes et de leurs amis . Leurs exploits ne servent donc qu’à augmenter et à propager la puiss
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
3 e sainte ; elle nuira moins à tous les parents et amis des condamnés. Il veut donc profiter de l’esprit guerrier de son épo
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
4 e fut l’avis que me donna bientôt après un de mes amis , lorsque je lui montrai la première ébauche de cet Ouvrage dans ma Pr
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
5 de leur mieux pour ne pas conserver longtemps un ami  ; qu’ils inventaient tous les jours des modes différentes ; et que, s
6 Paolo Marana, Lettre d’un Sicilien à l’un de ses amis , contenant une agréable critique de Paris et des Français, 1700 et 17
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
7 , avait écrit un an avant sa mort, caché chez des amis , son Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain.
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
8 de tous les patriotes, tel est le vœu de tous les amis de la liberté répandus sur la surface de l’Europe, qui n’attendent pl
9 n dont il n’a jamais mieux mérité d’être appelé l’ ami . C’est en effet à Jean-Baptiste, dit Anacharsis Cloots, Prussien de
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
10 Europe, dont il avait donné lecture à un groupe d’ amis (parmi lesquels les frères Schlegel et le jeune Schelling), mais que
11 i allait devenir la nostalgie commune de tous les amis de Novalis, penseurs, artistes et poètes, catholiques de naissance ou
12 rmé » de Fichte et l’essai sur l’Europe de Gentz. Ami de Novalis dans sa jeunesse et devenu plus tard catholique comme lui,
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
13 Lombardia, cap. Ve. 210. Il écrit en 1834 à son ami L. A. Melegari : « J’aime religieusement l’humanité, mais religieusem
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
14 ne — n’était pas une menace à leurs yeux mais une amie , presque une complice. Un peu plus tard cependant, en 1790, c’est à l
15 essus matériels et quantitatifs.) De même que son ami Engels, il salua les mouvements de libération nationale des Polonais,
16 tes les ambiguïtés que nous retrouverons chez ses amis , ennemis et successeurs russes sont en germe dans ces Lettres : « Il
17 ut de l’Europe sera russe. Pour Kireievsky et ses amis , la notion d’hégémonie organisatrice est capitale : Mais pour que l’
18 n brevet de citoyen au poète allemand Schiller, l’ ami de l’humanité, et bien qu’elle ait fait par là un beau geste, voire u
19 le xixe siècle, où Schiller, citoyen français et ami de l’humanité, n’a jamais été connu que des professeurs de littératur
20 chambrette et m’inondait de lumière. Eh bien, mon ami , eh bien ! ce soleil couchant du premier jour de l’humanité européenn
21 on ennui russe, étais alors libre. Note bien, mon ami , une bizarrerie : chaque Français peut servir, avec sa France, l’huma
22 a Russie. Davantage même !… et, reconnais-le, mon ami , c’est un fait remarquable que, voici déjà près d’un siècle, la Russi
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
23 e date, Carl J. Burckhardt, écrit à son maître et ami , le poète autrichien Hugo von Hofmannsthal, quelques pages prophétiqu