1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
1 se dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux ru
2 ans doute jusqu’à la fin des fins… Mais voici mes amis . Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vo
3 ichel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le voir à Esztergom, où il passe ses étés. Esztergom est l
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
4 « Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon amie , vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne m’en souvie
5 es du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné qui mentionne en passant la mort de sa belle-mère, survenue il y
6 ard les désirs qu’auparavant il dédiait à quelque amie de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’inven
7 tes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres nés de la marche et du bo
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
8 de Réalité. (Et je ne parle ici à peu près que d’ amis , parisiens au surplus). Jamais, peut-être, une génération n’avait tro
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
9 e Renaud (Renaud-de-la-Cure), qui est une vieille amie des propriétaires de notre maison, est venue plusieurs fois nous voir
10 : Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis  ! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui m’ont fait c
11 qu’ils trouvent en dépôt chez la mère Renaud : L’ Ami du Peuple ou La France de Bordeaux, la feuille locale des curés ou ce
12 J’en suis bien curieux. 13 décembre 1933 Un ami auquel j’avais prêté quelques centaines de francs il y a un an, m’en
13 uverte et sérieuse. « Eh bien, Messieurs et chers amis , nous allons procéder, selon votre coutume, à l’élection du bureau, p
14 ez les juifs est presque communiste ! Jésus est l’ ami des pauvres, des péagers. Malheureusement il y a le cléricalisme. C’e
15 ue argent à venir, j’ai accepté l’invitation d’un ami qui nous offre de passer trois semaines chez lui. Il habite à une pet
16 vagabondage. Janvier 1934. (En séjour chez un ami près de Royan.) J’ai interrompu mes notes depuis quinze jours. Pou
17 Nos conversations de ces jours derniers avec nos amis , et les précisions que j’ai dû fournir à des personnes curieuses de m
18 sque toute la place. Abîme entre la politique des amis du peuple, et la réalité du peuple : rien ne le rend plus sensible qu
19 fle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie , d’une maison pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une
20 ne invitation à passer quelques semaines chez des amis . Et deux demandes de traduction de l’allemand. Tout cela probablement
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
21 à cette humiliante évidence : sans argent et sans amis proches, la solitude, ici, devient un isolement. Il y a les « gens »
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
22 loi, m’invita à une soirée chez lui avec quelques amis des groupes personnalistes. On me fait parler avec un personnage aux
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
23 Journal (1935-1936) Fin d’octobre 1935 Des amis se sont étonnés de me voir accepter ce poste, offert par le hasard d’
24 aujourd’hui ma cotisation à la SA. Car je suis un ami de l’ordre. — Amen. Dans un autre numéro, l’article de tête est inti
25 au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l’ ami et le libérateur invincible…   J’ai envoyé un récit du discours à des
26 incible…   J’ai envoyé un récit du discours à des amis de France : copie des notes de ce journal. Je n’ai ajouté que ceci, e
27 geois inquiets, opposants complices. Et seuls mes amis juifs me donnaient du régime une interprétation étonnamment conforme
28 sse, un jeune Allemand, vous sentirez, mes jeunes amis français, la vanité d’avoir seulement raison. Hélas, on n’a jamais ra
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
29 plus tard, invité à Ferney dans la maison de mes amis Paulding (celle-là même que j’habiterai plus tard, dès mon retour d’A
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
30 iterait pas à faire tuer pour elles ses meilleurs amis . (On entend : les Français qui l’ont accueilli comme émigré.) Mais lu
31 ’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peuple ami . (Il entendait : son peuple tchèque.) Historien futur ! — s’il en res
32 après-midi dorée. Échangeant des nouvelles de nos amis communs d’Argentine, d’Angleterre, d’Autriche, de Roumanie : la plupa
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
33 anne, reçue hier) : Que peuvent être devenus nos amis , nos vrais amis (…) et d’autres dont les visages palissent et s’effac
34 ) : Que peuvent être devenus nos amis, nos vrais amis (…) et d’autres dont les visages palissent et s’effacent tandis que n
35 Jacob Burckhardt. En 1871, il écrit à l’un de ses amis  : « Le sort des ouvriers sera le plus étrange… L’État militaire va de
36 s-je reçu, dit-il, par le chef de l’État ou par l’ ami  ? — Par l’ami, répond aimablement le Duce. — Alors je m’assieds. » —
37 -il, par le chef de l’État ou par l’ami ? — Par l’ ami , répond aimablement le Duce. — Alors je m’assieds. » — En sortant, aj
38 . Secundo, j’ai envoyé à un certain nombre de mes amis la phrase suivante : « Au plus fort de la persécution entreprise par
39 935) et il s’attend à être abattu par ses anciens amis . Dans le refuge précaire d’un Christliches Hospiz, il sent peser sur
40 H. Rauschning. 79. Néanmoins, un sergent de mes amis , syndicaliste, membre fondateur de la Ligue du Gothard, me dit, quelq
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
41 , comme le remarquait un spirituel Anglais de mes amis . Pour combien d’hommes le billet du Clipper ou d’un petit paquebot am
42 cages à poules. Aux gares, ils reconnaissent des amis , les prient de monter pour les accompagner jusqu’à la station prochai
43 ns. Espoir ? dans des surprises, et dans quelques amis retrouvés, qui connaissent bien le pays — mais n’en paraissent guère
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
44 à celui qu’on raconte dans leurs livres. Mais les amis qui étaient venus parlaient du Noël de la France et nous mangions nos
45 sont plutôt journalistes. Quant à leurs femmes et amies , elles m’ont paru cultiver le genre des nihilistes russes d’antan. La
46 La censure ne s’est pas relâchée, et d’excellents amis la disent justifiée par notre situation précaire au cœur de l’Axe. S’
47 ir en arrivant dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je trouve un grand jeune homme assis sur l’
48 n choix —, je déjeune avec des étudiants et leurs amies , des professeurs aussi, et quelques réfugiés. L’après-midi, Diana R…
49 re, traduit, truffé et adapté par les soins d’une amie américaine qui adore mon pays et qui connaît le sien87. 28 mai 194
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
50 e d’un marais, près d’un cimetière, tandis qu’une amie me disait : « La mort doit être douce à Montevideo… » Buenos Aires
51 y renoncer, un tiers des membres étant, croit-il, amis de l’Axe. Ils sont prêts à soutenir un coup d’État fasciste (au nom d
52 ont, mais en vain, voudrait atteindre un groupe d’ amis qui disent adieu. L’un après l’autre les œillets lancés tombent dans
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
53 me réveille89. Je n’ai rien d’autre à dire à mes amis d’ici. Vous marcheriez le long de vos rues habituelles et vous marche
54 is encore… — J’étais à la campagne avec un couple ami qui cherchait une maison à vendre, et dans une ferme où nous entrons
55 qui bée sur la nuit. Je connais la cérémonie. Mes amis s’étonnaient de mon calme. Que voulez-vous, je me sens tellement plus
56 e ne plus m’en échapper. Je devais aller chez des amis après le dîner. J’entre au hasard dans un petit restaurant, au bas de
57 ns ce quartier. Je suis monté sans diner chez mes amis . Je n’en ai pas de plus charmants dans toute la ville, et je les ai v
58 j’ouvre ma porte : le téléphone sonnait. C’est un ami qui vient de quitter l’Office of War Information. La place sera décla
59 en France. » 26 juin 1942 Déjeuné chez des amis belges avec Paul Van Zeeland, et parlé du personnalisme, de la fédéra
60 nce, disposant des énergies que libère une nature amie de l’homme, se trouve placée par cette nature même au rang de grande
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
61 de l’être. Comment lui résisterait-on ? C’est un ami . Il vous a reçus d’abord et vous a proposé ses façons et usages qu’il
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
62 ais non : je viens d’en voir une de mes yeux. Une amie , fort connue pour sa beauté, ayant disparu de New York depuis plusieu
63 père que tu t’amuses, que tu as du fun », écrit l’ ami , du fond du Pacifique. Je pense aussi à celle qui s’était remariée cr
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
64 ortune, feraient de mauvais pauvres et de mauvais amis . C’est passionnant, les énormes fortunes. Passionnant à regarder de p
65 aison depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où est Jim ? — Je ne sais pas. Il est parti. » Jim éta
66 je n’ai pas peur… » — Eh bien ? m’ont demandé mes amis dans la voiture qui nous emporte sous la pluie, qu’en pensez-vous ? —
67 ttany, il y en a d’autres. Je les ai vus avec des amis tantôt français, tantôt américains. Les Français critiquaient beaucou
68 me dans les contes de fées. Mais je regardais ces amis du coin de l’œil : en critiquant, ils essuyaient une larme. Quant aux
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
69 es événements locaux le plus marquant, pour notre ami , paraît être la vente d’un grand hôtel à une nouvelle direction juive
70 re tout d’abord que quelques-uns de mes meilleurs amis sont des juifs… Il fournissait ainsi la mesure de sa grande liberté d
71 dicule ; quand on les tue. Mais le fait que notre ami , cependant, l’ait dite aussi spontanément, prouverait qu’un effort es
72 en affirmant que « quelques-uns de mes meilleurs amis sont antisémites… » À ce propos, un mot noté l’hiver dernier. K. H… e
73 avons en commun, par ailleurs, quelques très bons amis allemands réfugiés à New York depuis la guerre ou depuis 1933. Nous n
74 u celles de la lenteur et du silence ? Mais notre ami le Dr M. V…, qui passe l’été près ici avec deux girls, nous écrase d’
75 ait aussi bien démontrer le contraire ? Quand des amis d’Europe débarquent à New York — et il en vient beaucoup depuis quelq
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
76 us rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu des amis intacts, et dont l’amitié seule avait mûri comme un bon vin. Et j’ai