1
ial, du sens de la communauté, et simplement de l’
amour
du prochain, remplacé par la loi de la jungle et la schizophrénie gén
2
u État), aux notions évangéliques et judaïques, d’
amour
actif, de liberté, de justice et de vocation, sont venues s’ajouter l
3
st celui des cellules cancéreuses. En revanche, l’
amour
est une valeur fondamentale, qui ne saurait être niée ou contestée qu
4
! Non sur un sentiment, mais sur un acte ! Sur l’
amour
qui agit, l’amour qui aide, et non pas sur cette chose qui se lamente
5
iment, mais sur un acte ! Sur l’amour qui agit, l’
amour
qui aide, et non pas sur cette chose qui se lamente 12 heures par jou
6
ndent du langage. Prenez un seul exemple : le mot
amour
; La Rochefoucault a dit : « Combien d’hommes seraient amoureux s’ils
7
amoureux s’ils n’avaient jamais entendu parler d’
amour
? » Eh bien, cet amour que nous connaissons, l’amour romantique que l
8
nt jamais entendu parler d’amour ? » Eh bien, cet
amour
que nous connaissons, l’amour romantique que les Américains appellent
9
ur ? » Eh bien, cet amour que nous connaissons, l’
amour
romantique que les Américains appellent « romance » est une invention
10
sible, une déesse pour laquelle on nourrissait un
amour
impossible, quelque chose de tout à fait différent de l’amour sensuel
11
ible, quelque chose de tout à fait différent de l’
amour
sensuel. Et c’est cette notion de l’amour qui a été vulgarisée à trav
12
nt de l’amour sensuel. Et c’est cette notion de l’
amour
qui a été vulgarisée à travers toutes les littératures, toutes les so
13
çant l’homme, remplaçant le civisme, remplaçant l’
amour
du prochain, et passant avant tout cela, s’il faut choisir. Car le pr
15
ait, historique autant que psychologique, que « l’
Amour
» tel qu’on le parle et qu’on le vit dans la culture occidentale, à l
16
dans la culture occidentale, à la différence de l’
amour
tel qu’il est codifié et vécu dans les autres cultures, se trouve lié
17
ade et à Sacher-Masoch. Pour situer cette forme d’
amour
spécifiquement occidental dont les structures psychiques peuvent être
18
débrouiller, parmi les mille et trois sens du mot
amour
, quelques classes sémantiques assez évidemment distinctes, sinon oppo
19
ntelligibles les innombrables contradictions de l’
amour
tel que nous le vivons et, plus encore, tel que nous l’écrivons. Ci
20
e). Il n’en va pas de même de la passion, forme d’
amour
liée plus que toute autre à ses expressions littéraires (au « discour
21
tions près) à l’aire de la culture occidentale. L’
amour
sentimental est le degré inférieur de la passion, laquelle est la tra
22
t la transposition de l’érotisme en religion de l’
amour
ressenti, en exaltation nostalgique ou jubilante, comparée à un feu q
23
soudain éclate, flambe et « se déclare ». C’est l’
amour
qui se prend pour son objet, qui aime sa propre intensité et non pas
24
tenue, qui, à l’extrême, seront extase et mort. L’
amour
du prochain tel qu’il est, ou tel que le regard aimant est capable de
25
e, voulant la vie au lieu de désirer la mort. Cet
amour
-là n’est pas disert ni exalté mais réaliste, d’une manière qui ne prê
26
», où la pulsion sexuelle n’est plus sensible, l’
amour
mystique va reprendre tout le langage de la passion : il cherche la f
27
de ne pas mourir » (Thérèse d’Ávila). Il est à l’
amour
du prochain dans le même rapport dialectique que l’érotisme l’est à l
28
fin est de donner des enfants à l’État. Certes, l’
amour
vrai « tend à l’enfantement dans la beauté, selon le corps et selon l
29
rèce à ce qu’on peut appeler la métaphysique de l’
amour
(R. Flacelière, L’Amour en Grèce). Il semble que Platon agit sur nou
30
eler la métaphysique de l’amour (R. Flacelière, L’
Amour
en Grèce). Il semble que Platon agit sur nous comme une information
31
i écrivent sur Éros. Si l’idée platonicienne de l’
amour
est résolument positive, édifiante, idéalisante, on aurait tort d’en
32
s n’ont pas connu le couple sombre Éros-Thanatos,
amour
et mort. Trois mythes en effet, écrit R. Flacelière, nous montrent q
33
Grecs ont médité sur les rapports mystérieux de l’
amour
et de la mort, bien avant le Moyen Âge courtois et le roman de Trista
34
es illustrent davantage le rêve ou l’idéal de « l’
amour
plus fort que la mort » que la passion de « l’amour pour la mort » qu
35
our plus fort que la mort » que la passion de « l’
amour
pour la mort » qui est, comme nous le verrons, le secret de Tristan.
36
ton, Plutarque fait un premier éloge du mariage d’
amour
: « L’union physique avec une épouse est source d’amitié, comme une p
37
femme de cinq maris : paix et pardon à cause de l’
amour
.) S’agirait-il d’un refoulement ? Non, car la tentation correspondant
38
tient en ceci que le christianisme, religion de l’
Amour
(« Dieu est Amour »), créé par un acte d’amour (« Dieu a tant aimé le
39
le christianisme, religion de l’Amour (« Dieu est
Amour
»), créé par un acte d’amour (« Dieu a tant aimé le monde qu’il a don
40
l’Amour (« Dieu est Amour »), créé par un acte d’
amour
(« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique… »), et do
41
cette foi nouvelle n’a pas de livres sacrés sur l’
amour
. C’est cette absence totale de cérémonials d’initiation et de recette
42
ue de l’Inde et de la Chine, saint Paul fait de l’
amour
matrimonial, sexuel, social et personnel, une forme d’existence spiri
43
). Ainsi donc, exalté d’une part comme image de l’
amour
divin, mais vilipendé d’autre part comme ennemi de la vie spirituelle
44
impudicité », « prostitution spirituelle ») —, l’
amour
humain devait fatalement devenir une source intarissable de problèmes
45
lié dès l’origine à la réalité de la personne, l’
amour
sexuel, sentimental et spirituel (amour des corps, des âmes ou des es
46
rsonne, l’amour sexuel, sentimental et spirituel (
amour
des corps, des âmes ou des esprits, selon la tripartition paulinienne
47
stianisation du Proche-Orient et de l’Occident, l’
amour
personnel ne semble avoir joué aucun rôle pratique, juridique, ni mêm
48
rs, non des personnes. Du ixe au xiie siècle, l’
amour
antique s’est éclipsé, et celui que nous croyons seul « naturel » et
49
On connaît la boutade de Charles Seignobos : « L’
amour
est une invention du xiie siècle. » Amour, qui désigne pour nous le
50
: « L’amour est une invention du xiie siècle. »
Amour
, qui désigne pour nous le sentiment, le désir et la passion, n’a pris
51
et sa doctrine absolument nouvelle, la cortezia (
amour
à la manière des cours seigneuriales), on ne peut croire qu’elle n’ai
52
historique de l’amour-passion, c’est-à-dire de l’
amour
traversé, en butte à des obstacles toujours plus tragiques, et s’exal
53
aison » comme à la luxure grossière le culte de l’
amour
vainqueur, respectueux de la femme, mais non des liens sociaux. À la
54
ne de saint Paul — selon laquelle le mariage sans
amour
vaudrait mieux que l’amour sans mariage — mais surtout d’avoir soumis
55
quelle le mariage sans amour vaudrait mieux que l’
amour
sans mariage — mais surtout d’avoir soumis l’Éros au discours poétiqu
56
s troubadours et des trouvères du xiie siècle, l’
amour
est cela qui se « déclare » par des mots. On peut soutenir que l’hist
57
sses, d’enthousiasme et d’élévation spirituelle ;
amour
de la princesse lointaine, rappelant « l’amor de lonh » de Jaufré Rud
58
pour la comtesse de Tripoli, et c’est en vérité l’
amour
de l’amour même, l’amour de l’état amoureux plus que de l’Autre tel q
59
tesse de Tripoli, et c’est en vérité l’amour de l’
amour
même, l’amour de l’état amoureux plus que de l’Autre tel qu’il est, q
60
li, et c’est en vérité l’amour de l’amour même, l’
amour
de l’état amoureux plus que de l’Autre tel qu’il est, qu’on ne rejoin
61
r ; et même l’élan de l’hérésie ne manque pas : «
Amour
» vaut plus que la simple vérité, que le sacré social, que les devoir
62
er à la conscience, d’être reconnus et assumés. L’
amour
, dès lors, sera toujours lié à son « aveu », à sa « déclaration ». Le
63
nceste, dès les premiers instants, va peser sur l’
amour
de Tristan et d’Iseut. Car le trio Tristan-Iseut-roi Marc correspond
64
elle point de roman — que naît l’amour-passion, l’
amour
subi, celui qui fera dire à l’ermite recevant la confession des deux
65
-tu… » des plus beaux vers de Vigny, objet d’un «
amour
taciturne et toujours menacé », la Tess d’Urberville de Thomas Hardy
66
n’en reste pas moins celui qui affronte la mort d’
amour
, celui auquel son amour interdit « donne l’audace de négocier avec la
67
ui qui affronte la mort d’amour, celui auquel son
amour
interdit « donne l’audace de négocier avec la mort » (Pétrarque).
68
dans la poésie des troubadours, nous voyons que l’
amour
courtois se distingue du simple désir par le raffinement de ses expre
69
haut lieu », voire tout à fait inaccessible. « L’
amour
de loin » que chante Jaufré Rudel, l’éloge de la chasteté, les lois d
70
Jaufré Rudel, l’éloge de la chasteté, les lois d’
Amour
strictement codifiées, les règles de chevalerie : tout indique la mêm
71
d’une manière beaucoup plus dramatique lorsque l’
amour
courtois trouvera son expression romanesque dans la France du Nord et
72
Tristan et Iseut reste le prototype éternel de l’
Amour
, inventé par la poésie du Midi mais transposé dans le climat sombre e
73
la conclusion que la passion est cette forme de l’
amour
qui se nourrit des obstacles qu’on lui oppose, ou qu’elle sait invent
74
ple heureux ne fait pas un roman. L’histoire de l’
amour
passionné sera donc celle de ses traverses, de ses malheurs, que les
75
cesse renouvelé entre la religion des « Fidèles d’
amour
» et l’orthodoxie des Églises, entre l’aventure individuelle de la pa
76
narchie passionnelle, la religion subversive de l’
amour
reprend vigueur et invente de nouveaux moyens de s’exprimer et de rép
77
odoxie. « Entre deux êtres isolés, il n’y a pas d’
amour
possible », dit le héros de L’Homme sans qualités de Robert Musil. Et
78
sans qualités de Robert Musil. Et il ajoute : Un
amour
peut naître par défi, il ne peut être fait de défi. Il faut qu’il soi
79
ragique s’est mué en élégante mélancolie : lois d’
Amour
, séparations ingénieuses, éloge de la chasteté, voire défi à la mort
80
t le Tristan et Isolde de Wagner. Ici la mort par
amour
n’est plus seulement métaphorique. Elle est appelée dans sa réalité à
81
a réalité à la fois charnelle et mystique comme l’
amour
même. Deux générations plus tard, le théâtre français introduit à son
82
narchie des passions, la religion subversive de l’
amour
reprend vigueur. Ainsi, lorsque la société française s’organise solid
83
tiquité, dont Racine prétend s’inspirer, que de l’
amour
courtois et de la passion fatale, à la Tristan, dont on peut voir qu’
84
r qu’elle est devenue la manière de « ressentir l’
amour
» qui paraît désormais naturelle en Europe. L’empire du mythe tristan
85
sur Racine est manifeste : il explique seul que l’
amour
de Phèdre pour Hippolyte, dont elle n’est que la belle-mère, soit pré
86
de son père ». Aricie sera donc pour Hippolyte l’
amour
que le Père interdit, un substitut voilé de l’amour incestueux pour l
87
our que le Père interdit, un substitut voilé de l’
amour
incestueux pour la Mère. « Dois-je épouser ses droits contre un père
88
y sont sévèrement punies […]. Les faiblesses de l’
amour
y passent pour de vraies faiblesses. On est loin du dessein « d’ex
89
toutes les femmes celle qui pourrait retenir son
amour
, quand Tristan était l’homme d’un seul amour fatal mais dans lequel i
90
son amour, quand Tristan était l’homme d’un seul
amour
fatal mais dans lequel il trouvait toute la Femme. Don Juan viole tou
91
a tout perdu excepté la raison ». Privé en fait d’
amour
physique, ce descendant de la Laure de Pétrarque (Laure de Noves) tro
92
ve dans la tradition de sa famille le modèle de l’
amour
idéal, cette cortezia que, pour se venger de l’existence, il entrepre
93
eut tuer ce que la courtoisie adorait. Le crime d’
amour
impur sauvera seul la « pureté », aux yeux de Sade comme à ceux des f
94
ssion d’Abélard), Rousseau d’un coup ressuscite l’
amour
de Pétrarque (auquel il emprunte les sous-titres analytiques des chap
95
ette douleur qui m’est indiciblement chère. L’
amour
romantique C’est à partir de l’état d’âme sentimental des amants d
96
e. Hölderlin, lettre à Diotima : La passion de l’
amour
suprême ne trouve jamais son accomplissement ici-bas ! Mourir ensembl
97
l, passionné et mélancolique dans les choses de l’
amour
, selon le vocabulaire des poètes romantiques, du Sturm und Drang aux
98
à Baudelaire et de Novalis aux symbolistes. Car l’
amour
passionné, répétons-le, prend sa source dans cet élan qui par ailleur
99
plusieurs générations. Mais, si l’évolution de l’
amour
et la psychologie de l’état amoureux suivent de près la littérature,
100
un retour en force de la religion des « Fidèles d’
amour
», c’est que l’obstacle contre lequel il se révolte et mobilise les é
101
os passionnel, anarchisant, ce « vert paradis des
amours
enfantines » (Baudelaire) où ceux qui aiment situent leur vraie patri
102
il écrit que la volupté unique et suprême de l’
amour
gît dans la certitude de faire le mal. Et l’homme et la femme savent,
103
et qui réinventera les tourments bienheureux des
amours
interdites et impossibles. Et c’est Wagner qui en révélera musicaleme
104
s une crise radicale. L’hypocrisie du « mariage d’
amour
», refoulant les motifs sexuels et déguisant les motifs financiers, d
105
l’argent. Freud n’a rien ajouté à notre idée de l’
amour
puisqu’en ramenant l’amour à l’Éros génital il inverse la cortezia, m
106
outé à notre idée de l’amour puisqu’en ramenant l’
amour
à l’Éros génital il inverse la cortezia, mais il a fortement contribu
107
la seule libido ou énergie sexuelle. Pour lui, l’
amour
« dont les poètes parlent tant » n’est qu’une « prime de plaisir » do
108
En bref, on peut affirmer qu’aux yeux de Freud l’
amour
du prochain, désintéressé et même oblatif, n’est en dernière analyse
109
ait sexuel qui n’est qu’un cas particulier de cet
Amour
cosmique et spirituel qui, selon Dante, « meut le soleil et les autre
110
-B. Pontalis ne comporte pas d’article sur le mot
amour
. En revanche, dans l’article intitulé Génital (amour), les auteurs co
111
ur. En revanche, dans l’article intitulé Génital (
amour
), les auteurs concèdent qu’on trouve chez Freud l’idée d’une forme a
112
é et même “d’une attitude complètement normale en
amour
” où viennent s’unir le courant de la sensualité et celui de la “tendr
113
nterprétation purement sexuelle et égoïste de « l’
amour
» selon Freud. Éros, dieu d’une mystique athée Que les interdit
114
ui donner tout ce qui, jusqu’ici, était donné à l’
amour
; d’en faire le moyen de notre propre révélation (préface à L’Amant d
115
t prévisibles, on peut imaginer que l’avenir de l’
amour
dépendra désormais de notre faculté de maîtriser les deux pulsions co
116
rique que de nous décrire les cheminements de cet
amour
dont le poète andalou Ibn Hazm écrivait au xie siècle : L’amour est
117
ète andalou Ibn Hazm écrivait au xie siècle : L’
amour
est une maladie incurable qui ne peut trouver remède qu’en elle-même.
118
trouve aucun plaisir à en être guéri. o. « L’
amour
», L’Univers de la psychologie, Paris, Éditions Lidis, 1975, p. 203-2
119
e littérature profane, et produisent des romans d’
amour
, etc. Or ces croyances sont typiquement européennes, bien qu’erronées
120
nt est l’auteur de très nombreux ouvrages dont L’
Amour
et l’Occident , La Part du diable , Lettre ouverte aux Européens ,
121
savent seulement que j’existe ? Tout de même… L’
Amour
et l’Occident fut un best-seller mondial traduit en dix-sept langues
122
pouvoir comme vous parliez de la passion dans L’
Amour
et l’Occident … C’est absolument exact puisque, dans ce livre, je me
123
’ai prouvé —, Tristan n’aime pas Iseut. Il aime l’
amour
dans lequel l’identité d’Iseut s’anéantit et disparaît. Tristan pénèt
124
Et de même que Tristan n’aimait pas Iseut mais l’
amour
, de Gaulle méprisa les Français pour n’adorer que la France. Pensez e
125
omparables à ceux de la passion dans l’ordre de l’
amour
. Ils ont en commun le mépris de l’autre et la volonté de puissance. C
126
u’une forme de l’impérialisme. Au fond, depuis L’
Amour
et l’Occident jusqu’à votre actuel militantisme d’écologiste, vous n
127
ntisme et l’embrigadement. L’immense succès de L’
Amour
et l’Occident , qui se vendit à partir de 1939 dans le monde entier à
128
ent de publier Denis de Rougemont. L’auteur de L’
Amour
et l’Occident , de Penser avec les mains et de la Lettre ouverte a
129
aucun de mes livres. J’ai écrit, par exemple, L’
Amour
et l’Occident en trois mois… En été 1973, j’avais déjà écrit une cen
130
auteur de trente-deux ouvrages parmi lesquels L’
Amour
et l’Occident paru en 1939. Je n’avais pas commencé mon essai sur L
131
en 1939. Je n’avais pas commencé mon essai sur L’
Amour
et l’Occident à la date à laquelle mon éditeur m’avait demandé de le
132
et qui publiait La France et son armée. Entre L’
Amour
et l’Occident qui est une méditation sur le mythe de Tristan et Iseu
133
stan et Iseut, sur le goût des Occidentaux pour l’
amour
impossible, et votre action aujourd’hui, vos livres engagés pour l’Eu
134
! Je défends une certaine idée du mariage dans L’
Amour
et l’Occident , en opposition complète avec la passion amoureuse où l
135
, par exemple. Je m’en sens plus proche que de L’
Amour
et l’Occident , en un sens. Mais le fil conducteur existe, dans les l
136
ité et qui est aujourd’hui un grand classique, L’
Amour
et l’Occident . Ce succès mondial est à l’origine d’un malentendu qu’
137
les premières minutes de notre conversation. L’
Amour
et l’Occident a été traduit en douze langues et publié dans quatorze
138
nt. ⁂ Dans le post-scriptum récemment ajouté à L’
Amour
et l’Occident , je parle « d’hérésies libératrices des âmes et d’orth