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le : « Ne jugez pas. » On est déjà tout près de l’
amour
. On touche la vie, le grain de l’existence. Et c’est cela que je voud
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cris, que c’est profondément le même mouvement, l’
amour
. La même déception de l’amour, parce que rien ne s’est produit, rien
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e même mouvement, l’amour. La même déception de l’
amour
, parce que rien ne s’est produit, rien ne peut se produire, pour tant
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la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même
amour
, mais le cœur s’ouvre — l’aube est l’heure du pardon délivrant — et j
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arer, de contempler sans fin, où l’on a reconnu l’
amour
, comme il aime à s’y retrouver. Je nage à Baveno dans l’eau tiède et
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e le veut la coutume, l’histoire de mes Premières
Amours
. On m’a conspué. J’ai 16 ans. C’est horrible. Mon seul amour doit res
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’a conspué. J’ai 16 ans. C’est horrible. Mon seul
amour
doit rester mon secret. Je la guette à midi, quand elle descend dans
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mal et bien suprême, qu’on nomme si légèrement l’
amour
. k. « Lacs », Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, n° 8, août