1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Otto Flake, Der Gute Weg (septembre 1925)
1 Russie, vers le passé, vers l’Orient, tentant des amours nouvelles et les fuites les plus folles hors de la réalité, ils forme
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 scille entre la violence et le désespoir (c’est l’ amour ), et, déchiré de contradictions, tire du désordre de ses certitudes f
3 est fille de la fatigue. La Muse a trop veillé. L’ amour moderne, nerveux, saugrenu jusqu’au sadisme, trop lucide, est un amou
4 x, saugrenu jusqu’au sadisme, trop lucide, est un amour de fatigués (Les Nuits, l’Europe galante, de Morand). La lucidité aig
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Wilfred Chopard, Spicilège ironique (mai 1926)
5 fut aussi le prosateur charmant du Pédagogue et l’ Amour — sourit avec une grâce un peu frileuse et se permet de bâiller en pu
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
6 ouvenirs ; jusqu’au soir où la douleur nette d’un amour réveillé l’envahit. Et Closain rencontre, dans l’inévitable bar, le c
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
7 prétentieuse qu’incertaine. Son affaire, c’est l’ amour , et certain désespoir vaste et profond comme l’époque. « Voulez-vous
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
8 ation qui orne de beautés illusoires l’objet de l’ amour . Mais les jeunes gens de ce temps ne cultivent point cette fièvre. Et
9 nche d’allure. On ne sait ce qui la retient : son amour  ? son manque d’amour ? Pour Jacques, il souffre d’une incurable adole
10 sait ce qui la retient : son amour ? son manque d’ amour  ? Pour Jacques, il souffre d’une incurable adolescence, d’un défaitis
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
11 ». Mais plus voluptueux que philosophe, c’est à l’ amour qu’il ira demander la souffrance indispensable au perfectionnement de
12 ordonnée. Pourtant, entre Montclar et Ameline, un amour se noue, qui commence où souvent l’on finit. Et peut-être l’amour n’e
13 ui commence où souvent l’on finit. Et peut-être l’ amour n’est-il possible qu’entre deux cœurs que l’épreuve du plaisir n’a pa
14 autre ces êtres égoïstes, et fonde lentement leur amour , à force de petites blessures. Ce n’est pas le moins troublant d’une
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
15 rne aussitôt à ses yeux tout ce qu’il attend de l’ amour . Une confidence, un baiser, et il ne la reverra jamais. Il aime encor
16 urde tristesse des choses qui vous échappent, des amours impossibles, des histoires dont on ne sait pas la fin ni le sens véri
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
17 Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)an Ces trois nouvelles n’ont guère de commun entre elle
18 iétudes du désir viennent troubler de ravissantes amours d’adolescents. Et c’est Un vieil été. Cette nouvelle, très supérieure
19 s droits. an. « Jean-Louis Vaudoyer : Premières amours (Plon, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève,
10 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
20 sus, le roman repart dans une troisième action (l’ amour de Catherine pour un aviateur français) assez peu intéressante à vrai
11 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
21 sent par leurs écrits. Aragon, qui a le sens de l’ amour , a dit conséquemment beaucoup de choses vraies (belles). Il est même
12 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
22 aimer. Le sujet de Liszt et de Chopin, c’était l’ amour , donc la douleur ; ici, c’est l’absence d’amour, par refus de souffri
23 l’amour, donc la douleur ; ici, c’est l’absence d’ amour , par refus de souffrir. Mais chez un être raffiné, la peur d’étreindr
24 un être raffiné, la peur d’étreindre aboutit à l’ amour de soi dans « l’illusion ». Sachons gré à M. de Pourtalès de ce qu’il
13 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
25 console des nécessités modernes, dégradantes. Cet amour de l’invention romanesque considérée comme une revanche de la poésie
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
26 ne viendra pas disputer à M. Benda, c’est son dur amour de la vérité tout court. Celle-là même qui paraît anarchique dans un
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
27 peu ou pas mal de littérature. Et c’est à un tel amour qu’on va demander sa revanche contre la mesquinerie morale du milieu…
28 ssions sexuelles. Qui viendra rendre le sens de l’ amour idéal — celui qui transfigure ? Le roman de M. Jullien de Breuil effl
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
29 ui des rêveries de certaines pubertés ; quant à l’ amour , Maldoror ne paraît pas de taille à le concevoir au-delà de sa tendre
17 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
30 mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’ amour jaloux du merveilleux, avec quoi l’on est trop souvent tenté de confo
31 l’être profond de la race. On ne discute pas cet amour , on ne réfute pas cette haine. Ici, la sympathie est un devoir de pol
18 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
32 nt fascinant à la fois, qu’il me préserve de tout amour pour quelque bien particulier où je serais tenté de me complaire. Oh 
33 choses disparaîtraient… Le vertige (la peur et l’ amour du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se laisser ch
34 se serait mis à tourbillonner sur place. 14. L’ amour en Hongrie (généralités) Les Allemands aiment les femmes comme ils
35 re à la fois cocasses et fades. En Italie… Mais l’ amour hongrois t’emportera dans une inénarrable confusion de sentimentalism
36 vec une vertigineuse docilité dans les voies d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sa
37 aintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’ amour perdu… Un train dormait devant la gare campagnarde. Je me suis étendu
38 n seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste, comme un être dont on a besoin et en qui l’on chérit surtout
39 réclame et dont personne ne vit… Et certes un tel amour est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ?
40 nt personne ne vit… Et certes un tel amour est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fall