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drame de l’éthique individuelle, — une affaire d’
amour
, une affaire de la solitude. Une pensée et une vie sont aux prises :
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thèse à la thèse par haine de ce qui est, non par
amour
de ce qui doit être « cru », renvoie finalement au néant, annule lui-
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st l’éclair dans notre vie d’une transcendance, l’
amour
en actes, l’action directe, réciproque et gratuite, au sens où la grâ
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la loi n’établit jamais ni le contact vital ni l’
amour
du prochain. Le voisin, que la loi bien comprise nous ordonne d’aider
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c son temps, il a beau, par dépit de l’impuissant
amour
« moral », renverser les données terrestres, tenter le contact par la
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itique souveraine et parfaitement pénétrante de l’
amour
. Il ne parvient à rendre responsables du prochain ni son amour, ni sa
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parvient à rendre responsables du prochain ni son
amour
, ni sa haine, ni sa peur, ni sa joie, ni ses derniers défis. C’est ai
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C’est consolant ! (par allusion à ses malheurs d’
amour
, si simples…) Et la femme de Gordius vint un jour s’acquitter de ses
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la vôtre. Car vous mourez, nous mourons tous à l’
amour
qui ne tranche rien, mais qui épouse, qui accepte, qui pénètre, et qu