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ynisme d’un Talleyrand n’en jugea nécessaires ? L’
amour
du peuple et des victimes d’une société affolée s’étale sur les affic
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’éléments imprévisibles. Un autre trouble est cet
amour
théorique de l’Humanité, qui traduit une fuite devant l’humanité part
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s d’accord réel, jamais plus de haine déclarée. L’
amour
des hommes, transposé dans la collectivité, devient automatiquement d
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e d’obéissance à l’ordre de Dieu, qui s’appelle l’
amour
du prochain. Je dis bien : acte, et il faut insister là-dessus. Le mo
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a complètement perverties. On nous a présenté cet
amour
du prochain comme un sentiment bienveillant, une tolérance à l’égard
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e en société. On a transporté dans l’histoire cet
amour
qui doit être un acte, une présence et un engagement immédiat. Acte,
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humainement bienfaisante que l’Évangile appelle l’
amour
du prochain. Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant a
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ntre christianisme, n’est-ce donc qu’un conflit d’
amour
, assez touchant ? Est-ce à celui qui soignera le mieux cet homme que
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le, ces trois notions : le travail, le service, l’
amour
du prochain. Le travail est pour le chrétien un pur exercice. Il n’a
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étendre plus sur le troisième exemple, celui de l’
amour
du prochain. Il est évident pour un chrétien que cet amour est inconc
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prochain. Il est évident pour un chrétien que cet
amour
est inconcevable et impossible, est une pure hypocrisie en dehors de
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homme qui voudrait témoigner par des actes de son
amour
réel, de sa pitié pour le peuple trompé, passerait infailliblement po
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re, négliger les précautions d’usage, épouser par
amour
, faire scandale sans épiloguer, là où il faut, mépriser, admirer. D’u
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nt de militer bruyamment dans le parti, moins par
amour
passionné pour son idéal que par haine des autres partis, et souvent