1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 , étincelaient et lançaient des éclairs chargés d’ amour  ; ses cornes s’élevaient, l’une en face de l’autre, égales au-dessus
2 a puissance de paraître ce que je veux. C’est mon amour pour toi qui m’a poussé à parcourir une telle étendue marine, sous l’
3 utrement, rappellerait fâcheusement les coupables amours du roi des dieux païens et d’une fille de Tyr, cette ville cent fois
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
4 bjets par les mêmes mots : ainsi Dieu, le ciel, l’ amour , la mer, la terre, il est, il vit, il meurt, il aime, et presque tout
5 probable qu’ils ne puissent être corrompus ni par amour , ni par haine, ni par peur, ni par convoitise, ni autrement ; ils se
6 en dehors de cette convention qui réclame de nous amour et fraternité, et sans avoir été attaqués ou provoqués, ouvrent les h
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
7 e unité est indiquée par le précepte naturel de l’ amour mutuel et de la miséricorde, précepte qui s’étend à tous, même aux ét
8 iens se déchiraient et se tuaient entre eux. Si l’ amour réciproque n’est pas de nature à les unir, que du moins ils soient un
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
9 qui incline les hommes à la vie sociale, savoir l’ amour de la paix et de l’ordre, pour se rencontrer, par leurs délégués, dan
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
10 ne lente éducation « de l’esprit de justice, de l’ amour du prochain et de la maîtrise de soi, aussi bien chez les princes que
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
11 es, les catalogues des musées, ou les histoires d’ amour , le Voyage triomphait. … Il existe un titre charmant, qu’on ne peut
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
12 t vrai républicain suça avec le lait de sa mère l’ amour qui fait toute son existence : il ne voit que la patrie, il ne vit qu
13 d’ambition, resserreront entre elles les liens d’ amour et de fraternité auxquels les a destinées la Providence ? Qui ne voit
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
14 ir sans un profond mépris les sauvages, dans leur amour d’une indépendance sans règle, préférer se battre sans cesse, plutôt
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
15 if, plus immédiat que l’intérêt national ou que l’ amour de la patrie, sans rapport aucun avec la vie civique, commença à anim
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
16 ématique s’est d’abord extasié sur la symétrie. L’ amour du pouvoir a bientôt découvert quel avantage immense cette symétrie l
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Goethe
17 s choses, et il vaudrait bien la peine, pour leur amour , que je vive encore cinquante ans sur cette terre.179 L’Amérique, a
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
18 pour ce royaume de splendeur. C’était un premier amour qui mourut sous le poids de la vie temporelle, dont le souvenir fut e
19 mna l’imagination et le sentiment, la morale et l’ amour de l’art, l’avenir et le passé ; on en vint à placer nécessairement l
20 nel, dépouillez ce voile gris et regardez avec un amour juvénile la miraculeuse splendeur de la nature, de l’histoire et de l
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
21 me de son temps a pu croire sur la liberté, sur l’ amour et sur l’harmonie, supposées chères au cœur des peuples : « Le Peuple
22 ssion. Elle est dans l’oubli de Dieu, de sa loi d’ amour , de dévouement et de progrès moral de la grande tradition religieuse
23 gme, Dieu sans le prêtre, le ciel sans l’enfer, l’ amour sans la haine. Quelques années plus tard la sauvage répression condu
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
24 érées (dans son journal et dans ses romans) sur l’ amour des Russes pour l’Europe, leur « seconde patrie », n’ont en somme d’a
25 elle son berceau : cette idée emplit mon âme d’un amour filial. C’était là le paradis terrestre de l’humanité : les dieux des
26 mmense surplus d’énergies vierges se répandait en amour et en joies naïves. Le soleil les inondait de chaleur et de lumière,
27 raversa mon cœur, jusqu’à la douleur ; c’était un amour de toute l’humanité. C’était maintenant tout à fait le soir ; à trave
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
28 in de courage, un bond et un retour à de vieilles amours et de vieilles étroitesses — je viens d’en donner une preuve —, des h
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
29 incipe vital, qui est la justice, la justice et l’ amour , et dont la source est divine, c’est à condition qu’elles reconstruis
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
30 e accusation passionnée et contenue qui, liée à l’ amour pour tout ce qui est création de Dieu, a donné naissance à la science
31 , du seul point de vue de la spiritualité et de l’ amour divin, elle écarte de la vraie tradition européenne tout ce qui n’est
32 e. La misère humaine est mise à nu, à propos de l’ amour , dans l’École des Femmes, dans Phèdre. Mais rien de ce qu’ont produit
33 ien tolérer qui fût riche en contenu spirituel. L’ amour de Dieu est un feu dangereux dont le contact pouvait être funeste à l
34 tés libres mais unies dans la même foi et le même amour . La diversité devient alors la condition première de l’unité. C’est l
35 ect plus grand et l’accompagnent d’un plus ardent amour qu’au temps où il n’y avait personne pour l’offenser ou pour révoquer
36 is à une même destinée, soupirant après les mêmes amours , tourmentés par les mêmes douleurs, fiers du même patrimoine idéal. D