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es grandes écoles théologiques, le printemps de l’
amour
courtois, la chevalerie et les communes. Tous ces mouvements profonds
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rrier qui parle en ses Tragiques d’une nuit Où l’
Amour
et la Mort troquèrent de flambeaux. Par le pinceau, par l’épée et la
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e son lyrisme, elle tient le lieu de la passion d’
amour
, et c’est elle qu’il invite à la danse avec une fougue adolescente, u
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ort, dans leurs rêves, la part que nous fîmes à l’
amour
? Urs Graf, Holbein, Grünewald et tant d’autres, connus ou anonymes,
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s sentent menacé, ce n’est point la jeunesse et l’
amour
, je ne sais quel printemps platonicien, c’est la vie savoureuse et fo
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e du sentiment, peut-être autant que l’ont fait l’
amour
de la nature et l’esprit militaire. Toute la Suisse chante, depuis to
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êt presque exclusif porté au drame moral (même en
amour
) et à la formation de la personnalité. Le sentiment de la nature touj
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rté, le plus beau mot de toute langue, si celui d’
amour
n’existait pas. » Et plus tard : « Quand tous les périls seraient dan
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ntés humaines que nous ne savions plus discerner.
Amour
des choses, des paysages, des accents, révélations qui vous naturalis
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e faille dans la stabilité suisse ». Était-ce par
amour
de la Suisse, pour l’avertir d’un danger qu’elle courrait sans le sav
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sidéral, a éveillé chez beaucoup d’entre nous un
amour
presque déchirant de ses prairies et de ses fleuves, de ses ciels et