1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
1 es grandes écoles théologiques, le printemps de l’ amour courtois, la chevalerie et les communes. Tous ces mouvements profonds
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
2 rrier qui parle en ses Tragiques d’une nuit Où l’ Amour et la Mort troquèrent de flambeaux. Par le pinceau, par l’épée et la
3 e son lyrisme, elle tient le lieu de la passion d’ amour , et c’est elle qu’il invite à la danse avec une fougue adolescente, u
4 ort, dans leurs rêves, la part que nous fîmes à l’ amour  ? Urs Graf, Holbein, Grünewald et tant d’autres, connus ou anonymes,
5 s sentent menacé, ce n’est point la jeunesse et l’ amour , je ne sais quel printemps platonicien, c’est la vie savoureuse et fo
6 e du sentiment, peut-être autant que l’ont fait l’ amour de la nature et l’esprit militaire. Toute la Suisse chante, depuis to
7 êt presque exclusif porté au drame moral (même en amour ) et à la formation de la personnalité. Le sentiment de la nature touj
8 rté, le plus beau mot de toute langue, si celui d’ amour n’existait pas. » Et plus tard : « Quand tous les périls seraient dan
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
9 ntés humaines que nous ne savions plus discerner. Amour des choses, des paysages, des accents, révélations qui vous naturalis
4 1970, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Préface 1970
10 e faille dans la stabilité suisse ». Était-ce par amour de la Suisse, pour l’avertir d’un danger qu’elle courrait sans le sav
11 sidéral, a éveillé chez beaucoup d’entre nous un amour presque déchirant de ses prairies et de ses fleuves, de ses ciels et