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ison utilitaire, l’Évangile oppose les élans de l’
amour
sans calcul, au droit de la force le service du prochain, au culte du
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ncipales de la lyrique des troubadours, donc de l’
amour
tel qu’on le parle et qu’on croit le sentir en Occident ? Et l’apport
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ans les rapports individuels. La passion, c’est l’
amour
exalté non seulement au-delà de toute raison, mais au-delà de l’insti
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mme un suprême accomplissement. La passion dans l’
amour
nourrit toutes nos littératures depuis des siècles — depuis les troub
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n scientifique, bourgeoise et individualiste de l’
amour
romanesque. Il estime à bon droit que la passion est une force antiso
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toute la masse des hommes de tous les temps, mon
amour
à jamais personnel. Ces deux exemples sont extrêmes. Nous ne sommes p
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t commun : l’épopée, le roman d’aventures, puis d’
amour
; la ballade, le sonnet, les rimes et les césures ; les genres (tragé
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péché, la vocation personnelle, le sacrifice par
amour
, etc. Ceux qui viennent d’autres sources : l’honneur, la passion amou
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me de la vie, la loi, fort peu sentimentale, de l’
amour
. Nous avons presque tout inventé. L’espace d’abord. Ce sont les Europ
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que nous l’aidions à mieux vivre, mais dédaigne l’
amour
du prochain. 21. L’Europe et le monde : position du problème Vo
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doxal, puisqu’il exige d’être communiqué, comme l’
amour
même, sous peine de lésions explosantes dans l’inconscient d’où surgi