1 pourra plus y avoir entre eux et le pouvoir cet «  amour  » que beaucoup vouaient au roi, et pas seulement dans les discours et

2 ons dans tous les ordres, et non seulement de nos amours , de nos écrits et de nos décisions politiques, mais tout autant des m

3 osant dans les caves de torture du ministère de l’ Amour . En France, Gaston Berger puis Bertrand de Jouvenel se rattachent dav

4 sur la satisfaction de la norme, et finalement, l’ amour prime sur l’égalité quantitative. Restant bien entendu qu’il ne saura

5 , sans l’aide qu’il reçoit et qu’il donne, sans l’ amour qu’il reçoit et qu’il donne. Tout homme est par sa condition en commu

6 onstante, qui est l’attribut caractéristique de l’ amour humain ». Pour Althusius, « la première société est dans le couple ;

7 uccessives. Mais passer du sacré catholique à « l’ amour sacré de la patrie », c’est tout au plus changer d’intercesseurs — en

8 épare du monde et de soi ? La passion n’est pas l’ amour vrai, ne voit pas l’autre, ne veut pas l’accepter tel qu’il est. Pour

9 de sa personne même, en exercice, œuvre, maison, amour donné, silence… (Tout le reste, en communauté.) Elle pourra n’être pa

10 tuent ses raisons d’être — comme vérité, justice, amour , unicité de chaque vocation — et qui relèvent de la personne, donc de

11 d’Aquitaine, la poésie des troubadours. Cf. mon Amour et l’Occident, éd. défin., Plon, Paris, 1972, p. 280 à 287. 134. Au

12 us des meilleurs, ni celui du grand nombre ; ni l’ amour pieux ou gouailleur du peuple, ni le dévouement rituel d’une aristocr

13 açant du même coup la nature ; si l’on remplace l’ amour par l’efficacité — dont la mesure est la puissance militaire, puissan