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e1 ? Tout devenait incompréhensible et certain, l’
amour
n’existait pas ailleurs que dans mes bras, et nul chemin, nulle dista
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efuse de s’accomplir pleinement. L’Italien fait l’
amour
et n’épilogue pas. L’Allemand ne fait pas l’amour et en tire une méta
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amour et n’épilogue pas. L’Allemand ne fait pas l’
amour
et en tire une métaphysique. Le plaisir est pour lui rareté, friandis
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ueurs transfigurantes, — il faudrait un miracle d’
amour
qui fasse pousser un grand cri à un homme qu’on verrait alors s’ageno
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onne, ah ! que n’êtes-vous celles des désirs de l’
amour
! La traîne d’une robe tournoie, éclair de roses sur un seuil. C’étai
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prême délice de libération, une prière pour que l’
amour
soit bien-aimé… Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard de jeune
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e personne ne l’ait vu ! Ils ne savent plus que l’
amour
seul eût mérité ces fastes ; l’usage de leurs politesses imite dériso
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complice d’une angoisse plus bouleversante que l’
amour
, à la minute où l’on voit de très près, entre la nuit qui s’évapore e
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mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’
amour
jaloux du merveilleux, avec quoi l’on est trop souvent tenté de confo
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l’être profond de la race. On ne discute pas cet
amour
, on ne réfute pas cette haine. Ici, la sympathie est un devoir de pol
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nt fascinant à la fois, qu’il me préserve de tout
amour
pour quelque bien particulier où je serais tenté de me complaire. Oh
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choses disparaîtraient… Le vertige (la peur et l’
amour
du vertige). Qu’est-ce qu’il y aurait de l’autre côté ? Se laisser ch
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qui se serait mis à tourbillonner sur place. L’
amour
en Hongrie (généralités) Les Allemands aiment les femmes comme ils
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re à la fois cocasses et fades. En Italie… Mais l’
amour
hongrois t’emportera dans une inénarrable confusion de sentimentalism
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vec une vertigineuse docilité dans les voies d’un
amour
ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sa
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aintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’
amour
perdu… Un train dormait devant la gare campagnarde. Je me suis étendu
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n seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un
amour
égoïste, comme un être dont on a besoin et de qui l’on chérit surtout
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réclame et dont personne ne vit. Et certes un tel
amour
est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ?
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nt personne ne vit. Et certes un tel amour est un
amour
mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fall
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rté… Et voici dans sa vie cette double venue de l’
amour
et du chant prophétique, confondant leurs flammes. Dix années dans le
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ourmente cet être faible, humilié par le monde. L’
amour
s’éloigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la maison de Mme G
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femme par le nom qu’elle portait au mystère de l’
amour
. Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pipe qui traîn
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ais rien ? Ou bien, peut-être, seulement, quand l’
amour
leur donne une petite fièvre, — cette semaine de leur jeunesse où ils
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oses généreuses autour d’eux… Cela s’oublie. Et l’
amour
, tout justement, nous fait comprendre, dans le temps même qu’il nous
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Et j’ai copié dans Swedenborg des passages sur l’
amour
des anges et des humains, — l’amour, qui est le lieu des correspondan
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assages sur l’amour des anges et des humains, — l’
amour
, qui est le lieu des correspondances, qui est le degré suprême de la
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possessions en rêve — ce signal d’alarme —, et l’
amour
qu’ils essaient encore le samedi soir n’est plus cet infini repos dan
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nteur est chose souveraine, — elle seule domine l’
amour
. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur o
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sale, retenir des larmes ? Un soudain excès de l’
amour
s’est libéré dans tout mon être et s’élance vers ces vies proches. Oh
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ur du cœur humain, c’est de donner sans mesure un
amour
dont notre vie, peut-être, n’a que faire. ⁂ Le reste de la vie, c’est
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la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même
amour
, mais le cœur s’ouvre — l’aube est l’heure du pardon délivrant — et j
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J’aime ! » J’ai tout dit. L’Europe était patrie d’
amour
. Le silence attendait, l’absence était profonde, et chaque être prése
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n mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’
amour
… Quand je me souviens — c’est l’Europe. Parce que l’Europe est la mé
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e les femmes, un autre enfin comme une passion. L’
amour
n’est pas encore rationné, que je sache ? Et s’il est vrai, s’il n’es
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refermer sur quelque obsession de l’Avoir, chaque
amour
enrichit tout l’amour. Entre deux mondes aimés différemment, que l’am
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bsession de l’Avoir, chaque amour enrichit tout l’
amour
. Entre deux mondes aimés différemment, que l’amour ne soit pas déchir
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mour. Entre deux mondes aimés différemment, que l’
amour
ne soit pas déchiré ! Mais qu’il s’anime et vole et se réjouisse, et
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faut choisir l’un contre l’autre, et qu’entre ces
amours
il n’est que de la haine. Comment un Suisse le croirait-il ? Si je me
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arer, de contempler sans fin, où l’on a reconnu l’
amour
, comme il aime à s’y retrouver. Je nage à Baveno dans l’eau tiède et
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e le veut la coutume, l’histoire de mes Premières
Amours
. On m’a conspué. J’ai 16 ans. C’est horrible. Mon seul amour doit res
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’a conspué. J’ai 16 ans. C’est horrible. Mon seul
amour
doit rester mon secret. Je la guette à midi, quand elle descend dans
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mal et bien suprême, qu’on nomme si légèrement l’
amour
.
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s les vraies patries sont celles où l’on naît à l’
amour
. Un portrait de notre pays, peint de là-haut, ne ressemblerait guère