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ition, on peut tomber passionnément, mortellement
amoureux
, sans que s’y mêle la moindre convoitise. Je me souviens d’avoir rega
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ps, qui a probablement perdu la notion de passion
amoureuse
, parce que celle-ci est plus religieuse que sexuelle, juge puéril de
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ns l’autre… Les grandes, les implacables passions
amoureuses
sont toutes liées au fait qu’un être s’imagine voir son moi le plus s
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r sexuel et l’état d’âme ou mieux : l’état d’être
amoureux
. La passion amoureuse est, de toutes, celle qui se prête le mieux au
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âme ou mieux : l’état d’être amoureux. La passion
amoureuse
est, de toutes, celle qui se prête le mieux au récit. La sexualité pu
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uer « un acte aussi monstrueux de sélection » ? L’
amoureux
passionné, dans son choix exclusif, n’est-il pas « un pantin dont que
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rmule d’entrée de jeu : L’amour et l’inclination
amoureuse
sont tout à fait spontanés, le mariage est une décision ; vouloir se
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éologique de Kierkegaard « explique » sa conduite
amoureuse
, ou si ce n’est pas plutôt l’inverse, — ne correspond à rien dans not
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flexion, il n’a pas pris de vitesse l’inclination
amoureuse
, mais est resté en cours de route, et une telle décision est trop mis
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écision est trop misérable pour que l’inclination
amoureuse
ne la méprise et ne préfère se fier à elle-même plutôt que de se livr
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tel faux savant. La spontanéité de l’inclination
amoureuse
ne reconnaît qu’une seule spontanéité comme lui étant ebenbürtig, c’e
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un peu plus loin, « l’absurdité de l’inclination
amoureuse
arrive à une entente divine avec l’absurdité du sentiment religieux »
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nue tout aussi indispensable que ne l’est, pour l’
amoureux
, l’amour malheureux : à aucun prix il n’aimerait l’abandonner pour l’
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e plus naturel que les serments prodigués par les
amoureux
. Le bonheur spontané veut la durée. Mais de la durée naît l’ennui : c