1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 es indo-européens dont le sanscrit serait le plus ancien témoignage. Admettons même entre l’Inde et l’Europe une parenté antér
2 illement sempiternel ? Mais je vais aux quartiers anciens  : celui qui entoure la grande pièce d’eau sacrée, rectangulaire. Peti
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
3 cré, ce qu’il est encore en Orient. La morale des Anciens est basée sur le rite, et dans le monde magique elle n’est que rite.
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
4 nfin qu’à des définitions à peine différentes des anciennes ou de celles qu’il s’agit d’écarter — les unes comme les autres, d’ai
5 , et la foule des « déchets sociaux », opposants, anciens nobles, bourgeois, déviationnistes et saboteurs de toute espèce qui f
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
6 ment. Dans les deux cas, la subversion de l’ordre ancien s’opère par un double mouvement : le rejet violent des « choses vieil
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
7 onsidère les dimensions du temps décrites par les anciennes cosmologies de l’Orient. Pour l’Inde, l’unité de temps — le Kalpa ou
8 e devient unique et décisif, comme l’était sous l’ Ancienne Alliance le rôle collectif d’Israël. Le dialogue de Personne à person
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
9 n cosmos qui n’a plus de centre Parmi les plus anciennes mappemondes dessinées en Europe et qui subsistent de nos jours, celle
10 pulations nouvelles qui, s’établissant à côté des anciens habitants, constituent une nouvelle république heureuse et chrétienne
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
11 nd par erreur pour « technique » chez les peuples anciens . L’histoire des inventions n’est pas celle de « besoins » qui auraien
12 re : elles ne feraient autrement que répéter de l’ ancien qui n’a pas disparu sans raison, ou ressusciter des doctrines dont le
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
13 ’étaient plus mises en échec par trop de coutumes anciennes ou de limitations posées par des excès contraires. Si l’Europe d’aujo
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
14 t elle-même par la fédération (pratique bien plus ancienne que son nationalisme), elle peut donner au monde la formule et le mod
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
15 , et que l’angoisse est mère de la pensée. Si les anciens Hindous, les Sumériens, les Égyptiens et les Romains avaient déclaré