1
es localisations de surfaces et temporaires. (Les
animaux
et les arbres ne sont pas révolutionnaires.) Et ce n’est pas qu’il ai
2
aptés à leur conduite et à leur milieu, comme les
animaux
. Ils ne se posent pas de questions gênantes. Or, c’est mon métier d’e
3
ues. D’où les discussions qu’elle engage avec les
animaux
parlants, créatures curieusement acharnées à lui opposer une logique
4
ns le dernier acte de Mozart. Non, ce n’est pas l’
animal
, mais l’homme ; et non d’avant, mais d’après la morale. Point de Don
5
l les viole d’abord moralement pour s’imposer à l’
animal
, et aussitôt prises les rejette, comme si c’était le fait du crime et
6
lasonnant des Visions hermétiques : tels sont les
animaux
étranges, bariolés et quasi monstrueux que nous ramène du fond du xvi
7
ilosophie, et toujours opposée à l’homme naturel,
animal
plus ou moins raisonnable et simple exemplaire de l’espèce. Pour sain
8
, c’est-à-dire contre l’homme naturel, exemplaire
animal
transitoire et « aveugle », enveloppe obscurcissante d’une âme divine