1 ’il professe, au terme de son expérience de douze années dans l’aviation, est une morale collectiviste. (L’effort commun qui p

2 icycle de Strasbourg : « L’Europe vit, depuis des années , de la peur des Russes et de la charité des Américains ! » Traduisons

3 en millions d’habitants : « 320 vivent depuis des années dans la peur de 210 et de la charité de 150. » On souhaite qu’une tel

4 sion en nations, qui existe depuis une centaine d’ années , la division en langues, qui joue un rôle beaucoup plus vaste qu’au M

5 uropéanisme. Repartons de 1940. À la fin de cette année -là, j’ai été envoyé aux États-Unis pour une série de conférences. De

6 e d’une part par le nazisme, d’autre part par mes années d’Amérique. Quelles sont à votre avis les maladies infantiles de la c

7 n patronage et son appui pratique. Il salue cette année l’épanouissement de cette initiative. Si la musique reste une créatio

8 d’un demi-siècle en Norvège, quelques dizaines d’ années en Turquie et en Irlande. Jamais la culture en Europe ne s’est dévelo

9 tisans de l’Europe unie ont péché depuis quelques années — et non seulement dans l’affaire de la CED — par complaisance à une

10 ce en éloignait toute idée commerciale…) Bien des années plus tard, je devais découvrir que le culte des Lettres chez Adrienne

11 ois (janvier 1956)aa Revenant après de longues années sur les problèmes soulevés par L’Amour et l’Occident 12, j’éprouve

12 Revenant en Suisse après la longue absence de mes années américaines et plus que jamais frappé par ce trait national — le seul

13 Freud, Shakespeare et les Pères de l’Église… Dix années ont passé, et plus que jamais, s’il faut que j’en croie mes yeux, la

14 « avis » imprimé que j’ai pu lire il y a quelques années , punaisé près de la porte du balcon dans une chambre d’hôtel des bord