1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 tage. Les choses s’enveniment à tel point qu’en l’ année 1486, quinze assemblées de la Diète des cantons n’ont pas suffi pour
2 scrétion » imaginable pendant ses vingt dernières années  ? Ce rapprochement, que je ne puis qu’esquisser, nous mettrait-il en
3 tudes que nourrit Nicolas jusqu’à sa cinquantième année  ? Toutes proportions gardées, il me paraît licite de voir dans le cas
4 es Écritures, ait pu déboucher, quelque cinquante années plus tard, dans la Réforme luthérienne et zwinglienne. (Tout de même
5 jésuite Jakob Gretser fit jouer à Lucerne, cette année -là, une Comoedia de vita Nicolai Underwaldii Eremitæ Helvetii, écrite
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
6 auquel nous avons assisté depuis une trentaine d’ années . L’homme isolé, dans un monde trop vaste, ne se sent plus porté au se
7 sent d’y croire. Ils ont reconnu, depuis quelques années , que la notion de lois tout objectives, de lois absolument indépendan
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
8 , dont je parlais aux Suisses en janvier de cette année , et cela fait déjà cinq mois passés. Ce délai nous permet de comprend
4 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
9 e pourrait garder pendant des mois, peut-être des années , un grand espoir et une grande fierté, parce qu’elle saurait que dans
10 d’hui, peut-être, de l’écho. J’ai passé plusieurs années en France, et je me suis fortement attaché à la liturgie des Églises
5 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
11 ce presque, car il est capital. Supposez, dans x années , une forme d’existence humaine suffisamment adaptée aux fonctions soc
12 elles ne devaient m’apparaître qu’après bien des années , à l’épreuve de bien d’autres anxiétés. Mais ce premier coup au but a