1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
1 ait tirée de quelque journal intime de Goethe des années ascétiques, à Weimar avant l’Italie. Et le passage fameux de la Saiso
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
2 allemand. En regard du Goethe de la vingt-sixième année , du Goethe qui se détourne du romantisme, plaçons ce Hölderlin, qui v
3 Il veut durer, il veut guérir. Et ce sont ces dix années de silence et de repli, si émouvantes, si pures, c’est-à-dire si conf
4 s à la loi la plus profonde de sa nature. Ces dix années où, pour reprendre la comparaison du chêne, Goethe se fait un tronc,
5 les influences subies avant et après sa vingtième année , celles de Paracelse, de Jacob Boehme, de Swedenborg. On sait qu’avec
3 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
6 iers posthumes, fut composée en l’espace de douze années . Le père de Kierkegaard avait passé son enfance à garder les moutons
7 s bien tous… » Cela se passait à Copenhague, en l’ année 1855. Depuis lors, il est vrai, les choses ont bien changé. On dirait
8 ichtet selbst. 42. Toutefois dans le Journal des années 1846 à 1848, on trouve quelques notations de ce genre : « Grande sera
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
9 uel, chaque semaine ou presque, au cours de trois années qui marquent dans son œuvre l’élargissement de la maturité, Ramuz eng