1
ait tirée de quelque journal intime de Goethe des
années
ascétiques, à Weimar avant l’Italie. Et le passage fameux de la Saiso
2
allemand. En regard du Goethe de la vingt-sixième
année
, du Goethe qui se détourne du romantisme, plaçons ce Hölderlin, qui v
3
Il veut durer, il veut guérir. Et ce sont ces dix
années
de silence et de repli, si émouvantes, si pures, c’est-à-dire si conf
4
s à la loi la plus profonde de sa nature. Ces dix
années
où, pour reprendre la comparaison du chêne, Goethe se fait un tronc,
5
les influences subies avant et après sa vingtième
année
, celles de Paracelse, de Jacob Boehme, de Swedenborg. On sait qu’avec
6
iers posthumes, fut composée en l’espace de douze
années
. Le père de Kierkegaard avait passé son enfance à garder les moutons
7
s bien tous… » Cela se passait à Copenhague, en l’
année
1855. Depuis lors, il est vrai, les choses ont bien changé. On dirait
8
ichtet selbst. 42. Toutefois dans le Journal des
années
1846 à 1848, on trouve quelques notations de ce genre : « Grande sera
9
uel, chaque semaine ou presque, au cours de trois
années
qui marquent dans son œuvre l’élargissement de la maturité, Ramuz eng