1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
1 arder pour aimer, et oublier ce que l’on voit. Août 1935 Le voisin intolérable. — En face de moi, derrière mon journa
2 it, quelconque, qui descend sans se retourner. Août 1935 Le métro considéré dans sa réalité sentimentale, sensuelle et
3 erait simplement le subconscient des citadins. Août 1935 Considération des cités ouvrières. — Après tout, pourquoi pa
4 rands malheurs à cette démission confortable ! Août 1935 La pire injustice du chômage : il vous oblige à prendre la p
5 soit à moi, qui puisse être à un autre. » Fin août 1935 Remercier donc, et s’en aller encore. Savoir ce qui compte, e