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ait murmuré : Marie Pleyel. Quand la place se fut
apaisée
, je m’aperçus que j’étais seul. Une dernière auto, extraordinairement
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ien descends les bras collés au corps dans l’onde
apaisée
du souvenir. Sois riche d’avoir ce que tu es, comme ils sont pauvres
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pâturent en liberté. Le meuglement des bœufs ne s’
apaise
pas sous le soleil et nous entoure d’une rumeur animale tenace comme
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et du loisir, créé par l’économie citadine, ici s’
apaise
et laisse percevoir les rythmes naturels, l’ample respiration élément