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politique. Finalement, si l’on y réfléchit, on s’
aperçoit
que la politique fédéraliste n’est rien d’autre que la politique par
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confusion. Si l’on examine son vocabulaire, on s’
aperçoit
qu’il utilise à peu près au petit bonheur les termes d’union et d’uni
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s’opposer aux intérêts de l’Europe entière, on s’
apercevra
qu’elle a perdu ses bases contractuelles. Déclarer par exemple que la
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ème de la régionalisation du territoire. On s’est
aperçu
que ce sous-développement provenait directement de la structure de l’
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’autre d’un idéal qui n’existe pas — et l’on s’en
aperçoit
très vite — alors que le vrai amour est agent de personnalisation par
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es États-nations constitués au xixe siècle. On s’
aperçoit
alors que le fédéralisme politique (intra ou interétatique), seul pri