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le donne naissance à des régimes unitaires (qu’on
appelle
aujourd’hui totalitaires) contre lesquels ne tarde pas à se dresser a
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ui est la condition première de ce que l’Européen
appelle
sa liberté. Voilà pourquoi il serait criminel, s’il n’était d’abord i
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r nom des attitudes qu’en d’autres temps l’on eût
appelées
faiblesse de caractère, défaitisme ou lâcheté. Ainsi nous acceptons d
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ui est la condition première de ce que l’Européen
appelle
la liberté. Voilà pourquoi il serait criminel, s’il n’était d’abord i
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oderne décrit par Thomas Hobbes, et que Nietzsche
appelait
un jour « le plus froid de tous les monstres froids » — l’État-nation
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oits de la personne. Et à ce tribunal pourront en
appeler
, contre les pouvoirs étatiques, les minorités opprimées, et plus enco
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uoi, cette lettre est inutile, si l’on a décidé d’
appeler
« fédéralistes » tous ceux, qui, un jour ou l’autre, ont parlé de l’E
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u’elle ferait bien de s’unir. Il y a des gens qui
appellent
surréaliste tout écrit qu’ils estiment un peu obscur. Si mon projet v
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perdre la guerre, fait actuellement ce qu’on peut
appeler
une névrose d’infériorité. Pourtant, les faits ne justifient pas le d
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irai plus. Le monde moderne tout entier peut être
appelé
une création européenne. Pour le bien comme pour le mal, il imite à l
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oint par hasard que ces deux grands pays semblent
appeler
ce procédé de description : leurs traits les plus frappants et qu’ils
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éaction contre la politique de l’éloquence (qu’on
appelle
, par erreur, doctrinaire). Mais il tend, si l’on n’y prend garde, à é
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rement leur fin et qui exigent ses moyens, je les
appelle
fédéralistes. Il n’est pas juste de les considérer comme extrémistes,