1 1948, Articles divers (1948-1950). Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)
1 le donne naissance à des régimes unitaires (qu’on appelle aujourd’hui totalitaires) contre lesquels ne tarde pas à se dresser a
2 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
2 ui est la condition première de ce que l’Européen appelle sa liberté. Voilà pourquoi il serait criminel, s’il n’était d’abord i
3 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
3 r nom des attitudes qu’en d’autres temps l’on eût appelées faiblesse de caractère, défaitisme ou lâcheté. Ainsi nous acceptons d
4 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
4 ui est la condition première de ce que l’Européen appelle la liberté. Voilà pourquoi il serait criminel, s’il n’était d’abord i
5 oderne décrit par Thomas Hobbes, et que Nietzsche appelait un jour « le plus froid de tous les monstres froids » — l’État-nation
6 oits de la personne. Et à ce tribunal pourront en appeler , contre les pouvoirs étatiques, les minorités opprimées, et plus enco
5 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
7 uoi, cette lettre est inutile, si l’on a décidé d’ appeler « fédéralistes » tous ceux, qui, un jour ou l’autre, ont parlé de l’E
8 u’elle ferait bien de s’unir. Il y a des gens qui appellent surréaliste tout écrit qu’ils estiment un peu obscur. Si mon projet v
6 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
9 perdre la guerre, fait actuellement ce qu’on peut appeler une névrose d’infériorité. Pourtant, les faits ne justifient pas le d
10 irai plus. Le monde moderne tout entier peut être appelé une création européenne. Pour le bien comme pour le mal, il imite à l
11 oint par hasard que ces deux grands pays semblent appeler ce procédé de description : leurs traits les plus frappants et qu’ils
7 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
12 éaction contre la politique de l’éloquence (qu’on appelle , par erreur, doctrinaire). Mais il tend, si l’on n’y prend garde, à é
13 rement leur fin et qui exigent ses moyens, je les appelle fédéralistes. Il n’est pas juste de les considérer comme extrémistes,