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taire bien caractéristique. Il s’agit de ce qu’on
appelait
jadis — naguère — une préparation d’artillerie. Quelle peut être notr
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part, nous agirons. Nous allons employer ce qu’on
appelle
les grands moyens, la radio, le film et la presse pour informer les p
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les esprits de ceux-là mêmes qui pourraient être
appelés
un jour à défendre l’Europe et qui ne le feront pas si le point de vu
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i de nos consciences et de nos volontés ; c’est d’
appeler
toutes nos forces éparses à se fédérer solidement, non point à s’unif
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implantation locale. Un foyer local ne peut être
appelé
foyer de culture que s’il réalise à la fois cette possibilité d’incar
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re pays, et, contre M. Rappard antieuropéen, j’en
appelle
à M. Rappard, fédéraliste suisse : nul mieux que lui ne sait que les
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un peu plus de 155 millions d’habitants ? Si vous
appelez
ce groupe la « Petite Europe », disait l’autre jour Jean Monnet, parl
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nsable, à la fois autonome et engagé, celui que j’
appelle
la personne. (Cette formule a été reprise par Sartre, mais à mon sens
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tion européenne ? Il y a d’abord la maladie que j’
appellerais
française. Je pense non seulement à l’instabilité politique de la Fra
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. Et ce sera aussi l’aboutissement de ce que j’ai
appelé
la mission de la Suisse. Je vais vous citer deux alexandrins qui résu
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de l’Europe, dépend en fait des députés français,
appelés
par M. Mendès France à le ratifier — ou non — vers la fin de ce mois.
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tant besoin que le nôtre d’exercer ce que Reynold
appelle
« l’imagination historique ». On sait quels préjugés déguisés en vert
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sujet : il ne s’agissait plus d’exposer ce que j’
appelle
la crise contemporaine du mariage mais d’aller véritablement à l’esse
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ons pas répondre, ils le savaient. S’ils nous ont
appelés
, cependant, comprenons la consigne ainsi transmise. Ils voulaient que
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st oublier la voix des écrivains martyrs qui nous
appelaient
de Budapest, et c’est trahir leur testament. Que chacun s’interroge e