1 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
1 Et plus d’obstacle devant la pensée. Le Suisse s’ appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl
2 la pensée. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’ appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son canton — ou l’E
2 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
3 ux, sont dans le même plan, se conditionnent et s’ appellent l’un l’autre. C’est avec la poussière des individus civiquement irres
4 dès 1880, dans une lettre prophétique, ceux qu’il appelait les « terribles simplificateurs ». Lorsque les étrangers s’étonnent d
5 t là ce que l’homme européen, depuis des siècles, appelle sa liberté ? Subordonner sans trêve les mécanismes utiles à des buts
6 éalité. Cet essai n’a donc d’autre ambition que d’ appeler des mises au point optiques. Il y faut le travail d’une équipe munie
3 1963, Articles divers (1963-1969). L’amour ? le mariage ? la fidélité ? l’adultère ? la passion ? le couple ? (25 octobre 1963)
7 , que tout homme doit un jour connaître, et qu’il appelle secrètement. Pourquoi mariage et passion sont-ils incompatibles ? Par
8 lque chose qui soit au-delà de l’ordre et qu’il n’ appelle alors un autre xiie siècle de l’amour… qui sera peut-être le xxie s
4 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
9 échanges d’une infinie complexité. Voilà ce que j’ appelle une harmonie fédéraliste. Le totalitaire, lui, trouve plus simple et
5 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
10 nationalisme local, ce chauvinisme cantonal (on l’ appelle chez nous Kantönligeist) relève de la même mentalité que le totalitar
11 échanges d’une infinie complexité. Voilà ce que j’ appelle une harmonie fédéraliste. Le totalitaire, lui, trouve plus simple et
6 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
12 sommes, et dont je suis, pays que l’on a souvent appelé , à tort ou à raison, une préfigure de l’Europe unie. Enfin, raisons i
7 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
13 t de la « Ligue helvétique ». L’Europe unie qu’il appelle de ses vœux ne serait nullement unifiée par un despote ou par une idé
14 lara au sujet du « pool charbon-acier », comme on appelait à l’époque la CECA : 1° qu’il n’était pas réalisable, 2° qu’il serait
8 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
15 Et plus d’obstacle devant la pensée. Le Suisse s’ appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’appelle Burckhardt
16 la pensée. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’ appelle Germaine de Staël. Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine,
17 ean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’ appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son canton — ou l’E
9 1965, Articles divers (1963-1969). La technique, facteur de paix (6 mars 1965)
18 religion judéo-chrétienne d’un Dieu incarné, qui appelle l’homme à la liberté dans sa condition concrète et non dans l’évasion
19 re fait que s’ajouter aux anciennes, curieusement appelées « conventionnelles », et que l’effort de la science, mobilisée au ser
20 onstruire une « locomotive routière », comme il l’ appelait , c’est-à-dire un véhicule rapide qui ne fût pas astreint à suivre la
21 ancher en dernier ressort de grands problèmes qui appelleraient en réalité des décisions politiques ou morales, tantôt mise en accusa
10 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
22 fera voir : la grande presse a pris l’habitude d’ appeler « Europe » le Plan prudemment mis au point d’union douanière (même pa
23 contraire par la force de rayonnement de ce qu’on appelle une « métropole », c’est-à-dire une grande ville ou un complexe de vi
24 ager le monde. Chacun de nos États-nations (qu’on appelait naguère des « Puissances ») se rêve ou s’est rêvé un jour Empire. Cer
11 1968, Articles divers (1963-1969). Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
25 grès. Celui-ci décida, le 8 avril, que « le texte appelé jusqu’ici préambule constituerait un Message aux Européens à faire
26 nsion, de la séance de clôture du congrès, je fus appelé d’urgence par Duncan Sandys, que je trouvai flanqué de son beau-frère
27 rain de m’interviewer lorsque Sandys m’avait fait appeler , et qui avait assisté au début de l’incident, revint me dire que tous
28 alors oui, nous en sommes pour nos frais. Mais j’ appelle espérance l’intuition qu’il existe des moyens de rejoindre le but que
12 1968, Articles divers (1963-1969). L’Exode des cerveaux [débat] (1968)
29 250 à 1260, je ne me rappelle plus exactement — s’ appelaient Thomas d’Aquin, qui était napolitain, Bonaventure, qui venait de Pise
30 nt où cette exportation devient ce que nous avons appelé l’exode des cerveaux. M. de Rougemont : Oui, et il faudrait donc essa
31 s critères pour déterminer à quel moment ce que j’ appelle des échanges — et qui est la santé même — devient un exode qu’il faud
32 que je viens de vous proposer, c’est celui que j’ appelle fédéraliste, qui consiste à répartir les tâches d’après leur nature e
33 re d’un petit village de l’Oberland bernois qui s’ appelle Sigriswil. Si Blaise Cendrars n’était pas parti à 17 ans pour le vast
34 ous n’en aurions rien su ; il aurait continué à s’ appeler Fritz Sauser. Mais il est parti dans le vaste monde qui en a fait Bla
35 us avons su qu’il y avait un grand écrivain qui s’ appelait Blaise Cendrars que nous avons découvert qu’il était suisse ! De même
36 pour empêcher cet échange à sens unique que l’on appelle exode par rapport à une certaine communauté et dans une certaine conj
37 , c’était la méthode introduite par Abélard qui s’ appelait le « sic et non », le oui et le non. La discussion dans les groupes d
38 s d’étudiants et de professeurs — un tel groupe s’ appelait un « studium » — la discussion, souvent violente, à laquelle tout le
39 er quelque chose de plus. Ce plus, c’est ce que j’ appelle « œuvre d’art », faute de pouvoir traiter cet immense sujet sur leque
13 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
40 , avec une poignante éloquence, Winston Churchill appelait la création de quelque chose qui, disait-il, « s’appellerait — peut-ê
41 la création de quelque chose qui, disait-il, « s’ appellerait — peut-être — les États-Unis d’Europe » et il s’écriait : « Je dois v
42 de notre temps » ? Qui ne voit que si l’Europe qu’ appelait Winston Churchill n’est pas faite, c’est parce que les nations qu’exa
43 anger, que c’est là-dessus qu’il faut bâtir, et d’ appeler ça du réalisme. Le cancer et les maladies mentales sont aussi des réa
44 contraire par la force de rayonnement de ce qu’on appelle une « métropole », grande ville ou complexe de villes moyennes forman
14 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
45 nique, ce que chaque être peut devenir s’il y est appelé . C’est son mystère, qui n’a rien de littéraire, de romantique, le mys
46 . Je suis pour le « mariage-maquette » Ceci appelle donc une réforme de la mentalité. On va souvent jusqu’à la réforme de
47 pas d’enfants ; il n’y aura donc pas de victimes. Appelons cette expérience un « mariage-maquette », un numéro zéro comme celui
15 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
48 es pouvoirs distincts, au terme de cette analyse, appellent ou non la coordination, sous quelles formes et dans quels domaines bi
16 1969, Articles divers (1963-1969). Le personnalisme, la contestation, les hippies et… le fédéralisme (27 septembre 1969)
49 nous fait-il remarquer, le fondement de ce que j’ appellerai ma philosophie. Une philosophie qui s’est lentement élaborée, en réac
50 r de l’« engagement » de l’écrivain. Car ce qu’il appelle engagement ce n’est rien moins que de tirer les conclusions pour la c
51 de tirer les conclusions pour la cité de ce qu’il appelle la personne, puisque celle-ci est définie par son acte. Ainsi se trou
52 à la base du mouvement personnaliste. Ce que nous appelions en 1932 la révolution personnaliste et communautaire, c’était quelque
53 alors de substituer un nouvel ordre à ce que nous appelions le désordre établi. La contestation véritable, c’est celle qui contes
54 s impressions. J’ai constaté qu’ici au Québec, on appelait fédéraliste la tendance unitaire par opposition aux libertés d’un Qué
55 ion de communauté de 5 à 20 mille habitants qu’on appelle , en urbanisme moderne, des unités d’habitation. Ces autonomies, il fa
17 1969, Articles divers (1963-1969). La révolution des meilleurs (4 octobre 1969)
56 la substitution d’un ordre nouveau à ce que nous appelions le « désordre établi ». Désordre par rapport à l’homme. C’est-à-dire
57 u fédéralisme — je prépare un grand ouvrage qui s’ appellera Théorie générale du fédéralisme, où je constate que le mot fédéralism
58 umaine, la responsabilité personnelle, à ce que j’ appelais le pouvoir de « décréation » du diable. Je suis en train de préparer
59 nte. Alors contre ça, il faut lutter par ce qu’on appelle en science la néguentropie. Et par la récréation de foyers d’inégalit
18 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
60 ⁂ Tout d’abord, trois définitions. Je propose d’ appeler problème fédéraliste une situation dans laquelle s’affrontent deux ré
61 transcende les exigences de l’un et de l’autre. J’ appellerai donc solution fédéraliste toute solution qui prend pour règle de resp
62 ation et qu’en général les pays qui aujourd’hui s’ appellent confédération sont des fédérations qui, pour certaines raisons, n’ont
63 la question. Il faudrait s’entendre sur ce qu’on appelle région. Je ne m’étendrai pas sur cette question complexe, mais je cro
19 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
64 insolence… C’est sans remords que les pays qu’on appelle chrétiens commettent ces crimes qu’ils décorent du nom de politique c